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Message de alex35 posté le 2004-11-30 14:01:33 (S | E | F | I)
This pair inhabited a single room; from the facts, it must have been double-bedded; and it may have been of some dimensions: but when all is said, it was a single room. Here our two spinsters fell out - on some point of controversial divinity belike: but fell out so bitterly that there was never a word spoken between them, black or white, from that day forward. You would have thought they would separate: but no; whether from lack of means, or the Scottish fear of scandal, they continued to keep house together where they were. A chalk line drawn upon the floor separated their two domains; it bisected the doorway and the fireplace, so that each could go out and in, and do her cooking, without violating the territory of the other
This pair inhabited a single room; from the facts, it must have been double-bedded; and it may have been of some dimensions: but when all is said, it was a single room. Here our two spinsters fell out - on some point of controversial divinity belike: but fell out so bitterly that there was never a word spoken between them, black or white, from that day forward. You would have thought they would separate: but no; whether from lack of means, or the Scottish fear of scandal, they continued to keep house together where they were. A chalk line drawn upon the floor separated their two domains; it bisected the doorway and the fireplace, so that each could go out and in, and do her cooking, without violating the territory of the other
Réponse: re:Aide d'une version de bridg, postée le 2004-11-30 14:05:39 (S | E)
Oui, dans le cadre de quel travail nous demandes tu cette traduction ? peux tu tenter toi même de la commencer et nous t'aiderons. C'est ainsi que nous fonctionnons. Merci
Réponse: re:Aide d'une version de alex35, postée le 2004-12-03 16:40:38 (S | E)
Ceci est la version que je dois traduire en francais. Je suis en prépa L sup
Voici mon texte traduit. Est-ce que vous pourriez m'aider en corrigeant les fautes.
Merci pour votre aide
Ce couple habitait une chambre individuelle; dans les faits, elle aurait du être aménagée de deux lits/et à une certaine dimension : mais pour tout dire, c’était une chambre individuelle. C’est dans cette chambre/ en cet endroit que nos deux vieilles filles se disputaient sur certains points controversés de la divinité: mais se disputaient si violemment qu’il n’y eut jamais plus un mot prononcé entre elles depuis ce jour.
Il aurait été à croire/penser qu’elles se seraient séparées: mais non; qu’il y ait un manque de ressources, ou le scandale écossais provoquant la peur/la peur d’un scandale en Ecosse, elles continueraient d’entretenir la maison ensemble là où elles étaient. Une ligne de craie tracée sur le sol séparait leur deux territoires/domaines; elle divisait/coupait en deux parties égales, l’entrée et la cheminée, afin que chacune puisse aller et venir et faire leur nourriture, sans violer le territoire de l’autre.
Réponse: re:Aide d'une version de bridg, postée le 2004-12-03 18:35:09 (S | E)
Alex 35 m'a fait parvenir par MP l'intégralité du texte qu'il avait à traduire, je sais que c'est long mais il avait déjà fait une bonne partie du chemin c'est la raison pour laquelle je vous propose la traduction que je viens de faire. Merci à ceux qui auront le courage de la corriger car il y a des passages qui m'ont posés problème.
This pair inhabited a single room; from the facts, it must have been double-bedded; and it may have been of some dimensions: but when all is said, it was a single room. Here our two spinsters fell out - on some point of controversial divinity belike: but fell out so bitterly that there was never a word spoken between them, black or white, from that day forward. You would have thought they would separate: but no; whether from lack of means, or the Scottish fear of scandal, they continued to keep house together where they were. A chalk line drawn upon the floor separated their two domains; it bisected the doorway and the fireplace, so that each could go out and in, and do her cooking, without violating the territory of the other.
So, for years, they coexisted in a hateful silence; their meals, their ablutions, their friendly visitors, exposed to an unfriendly scrutiny; and at night, in the dark watches, each could hear the breathing of her enemy. Never did four walls look down upon an uglier spectacle than these sisters rivalling in unsisterliness.
. Here is a canvas for Hawthorne to have turned into a cabinet picture - he had a Puritanic vein, which would have fitted him to treat this Puritanic horror; he could have shown them to us in their sicknesses and at their hideous twin devotions, thumbing a pair of great Bibles, or praying aloud for each other's penitence with marrowy emphasis; now each, with kilted petticoat, at her own corner of the fire on some tempestuous evening; now sitting each at her window, looking out upon the summer landscape sloping far below them towards the firth, and the field-paths where they had wandered hand in hand; or, as age and infirmity grew upon them and prolonged their toilettes, and their hands began to tremble and their heads to nod involuntarily, growing only the more steeled in enmity with years; until one fine day, at a word, a look, a visit, or the approach of death, their hearts would melt and the chalk boundary be overstepped for ever.
Voici la traduction à corriger
Ce couple (ou ces 2 là habitaient) habitait une chambre individuelle; dans les faits, elle aurait pu avoir deux lits et eut été assez grande : mais en fin de compte, c’était une chambre individuelle. C’est là que nos deux vieilles filles s’étaient disputée sur la question contre versée de la probabilité d’une divinité: mais s’étaient disputées si violemment qu’il n’y eut jamais plus un mot prononcé entre elles depuis ce jour. On aurait pu croire qu’elles se seraient séparées: peut-être par manque de ressources, ou cette peur typiquement écossaise d’un scandale, elles continuaient d’entretenir la maison où elles étaient ensemble. Une ligne de craie tracée sur le sol séparait leurs deux territoires divisés en deux parties égales, l’entrée et la cheminée, afin que chacune puisse aller et venir et faire leur nourriture, sans violer le territoire de l’autre.
Ainsi, depuis des années, elles coexistaient dans un silence haineux; leurs repas, leur toilette, leurs amis qui leur rendraient visite étaient soumis à un examen hostile; et la nuit, guettés dans l’ombre, chacune pouvait entendre le souffle de son ennemi. Il n’y eut jamais de spectacle aussi répugnant que celui de ces sœurs rivalisant de haine fraternelle.
Voilà la toile de fond qui transforma Hawthorne en image d’Epinal. Il avait un style puritain, qui lui aurait permis de traiter cette horreur puritaine, il aurait pu nous les montrer dans leurs maladies affairées à faire leurs affreuses dévotions mutuelles appelant chacune leur Bible ou priant à haute voix, d’une façon proche de l’emphase pour la rédemption de l’autre ; à présent, chacune en jupon en forme de kilt dans leur coin respectif près de la cheminée par une soirée orageuse et assises à sa fenêtre, regardant dehors le paysage d’été s’étendant loin en dessous d’elles vers l’estuaire et le chemin où elles avaient jadis gambadé main dans la main ; comme l’âge et l’infirmité avançaient et prolongeait leur toilette, que leurs mains commençaient à trembler et leurs têtes à s’incliner involontairement, leur inimitié seulement grandissant avec les années jusqu’au jour où grâce à un mot, un regard, une visite où l’approche de la mort, leurs cœurs accepteraient de se rejoindre et que la frontière de craie soit outrepassée à jamais.
Merci pour lui
Réponse: re:Aide d'une version de gartin, postée le 2004-12-03 18:45:33 (S | E)
Hello Alex,
Il n'est pas simple ton texte...
Voici ce que je te propose.
Cette paire habitait une chambre individuelle ; en fait, il aurait dû y avoir deux lits et la pièce aurait dû être plus grande. Mais il s’agissait bien d’une chambre individuelle. Dans cette pièce, nos deux vieilles filles se disputèrent à propos d’un point controversé relatif à une divinité ; la dispute fut si violente, qu’à partir de ce moment là, il n’y eut plus aucun mot prononcé entre elles, fusse-t-il blanc ou noir. On aurait pu penser qu’elles se sépareraient ; mais non... que la raison fut le manque de ressources ou la peur du scandale dans cette région d’Ecosse, elles restèrent ensemble dans cette pièce qu’elles habitaient. Une ligne de craie tracée sur le sol séparait en deux leurs domaines ; elle divisait l’entrée et la cheminée, de façon à ce que chacune d’elles puisse entrer et sortir, faire sa cuisine, sans violer le territoire de l’autre.
Je te conseille quand même d'attendre d'autres propositions.
Bonne fin de journée.
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Edité par bridg le 03-12-2004 19:04
le souci c'est qu'il y a une suite que tu as sur le post précédent
Réponse: re:Aide d'une version de cocoon, postée le 2004-12-03 19:05:20 (S | E)
Ce couple habitait une chambre individuelle; dans les faits, elle aurait pu avoir deux lits et eut été assez grande : mais en fin de compte, c’était une chambre individuelle. C’est là que nos deux vieilles filles s’étaient disputées sur la question controversée de la certitude d’une divinité: mais s’étaient disputées si violemment qu’il n’y eut jamais plus un mot prononcé entre elles depuis ce jour. On aurait pu croire qu’elles se seraient séparées: mais non ;peut-être/soit par manque de ressources, ou/soit à cause de cette peur typiquement écossaise d’un/du scandale, elles continuaient d’entretenir la maison où elles étaient ensemble. Une ligne de craie tracée sur le sol séparait leurs deux territoires divisés en deux parties égales, l’entrée et la cheminée, afin que chacune puisse aller et venir et faire sa nourriture, sans violer le territoire de l’autre.
Ainsi, depuis des années, elles cohabitaient / coexistaient dans un silence haineux; leurs repas, leur toilette, leurs amis qui leur rendraient visite étaient soumis à un examen hostile; et la nuit, guettés dans l’ombre, chacune pouvait entendre le souffle de son ennemi. Il n’y eut jamais de spectacle aussi répugnant que celui de ces sœurs rivalisant de haine fraternelle.
Voilà la toile de fond qui transforma Hawthorne en image d’Epinal. Il avait un style puritain, qui lui aurait permis de traiter cette horreur puritaine, il aurait pu nous les montrer dans leurs maladies affairées à faire leurs affreuses dévotions mutuelles appelant chacune leur Bible ou priant à haute voix, d’une façon proche de l’emphase pour la rédemption de l’autre ; à présent, chacune en jupon en forme de kilt dans son coin respectif près de la cheminée par une soirée orageuse et assise
Je trouve ça très bien moi bridg!
C'est pas facile comme texte!
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Edité par cocoon le 2004-12-03 19:19:54
Réponse: re:Aide d'une version de bridg, postée le 2004-12-03 19:09:19 (S | E)
Merci car le texte est effectivement très difficile
Réponse: re:Aide d'une version de gartin, postée le 2004-12-03 19:23:35 (S | E)
Hello Bridg,
Nous avons travaillé en même temps mais tu as été plus rapide que moi
Je mets la suite. Alex choisira ce qui lui convient.
Ainsi, pendant des années, elles cohabitèrent dans un silence haineux ; leurs repas, leur toilette, leurs visiteurs étaient soumis à un examen inamical ; et, la nuit, dans l’ombre, chacune guettait la respiration de son ennemie. Jamais on n’avait assisté entre quatre murs à un spectacle aussi terrible que celui qui se déroulait entre ces deux sœurs rivalisant de haine fraternelle.
Voici la toile de fond qu’utilisa Hawthorne à la façon d’une image d’Epinal ; il avait un style puritain, qui convenait parfaitement pour traiter de cette histoire horrible ; il aurait pu nous les montrer sous leurs traits maladifs et s’affairant à leurs hideuses dévotions, s’emparant chacune de sa Bible ou priant à haute voix avec emphase pour la rédemption de l’autre ; et chacune dans leurs jupons en forme de kilt, assise dans son coin devant le feu de cheminée par une soirée orageuse, chacune assise devant sa fenêtre, regardant le paysage d’été s’étendant vers l’estuaire et le chemin dans les champs où elles avaient gambadé naguère main dans la main ; l’âge et les infirmités avançant et faisant durer leur toilette plus longtemps, leurs mains commençaient à trembler et leurs têtes à dodeliner involontairement et seule leur inimitié grandissait avec les années ; jusqu’à ce qu’un beau jour, un mot, un regard, une visite ou l’approche de la mort, puissent permette à leurs cœurs de s’attendrir et de faire que la frontière de craie soit outrepassée à jamais.
Ouf ! Texte extrêmement difficile. J'espère qu'il y aura d'autres contributions car je ne suis pas sûre de tout moi non plus.
See you
Réponse: re:Aide d'une version de lucile83, postée le 2004-12-03 19:32:49 (S | E)
voici ma proposition; la suite après car je n'avais pas vu qu'il y avait une suite !!
Ces deux-là habitaient une chambre individuelle; dans les faits, elle aurait du être aménagée de deux lits ;et à une certaine dimension : mais pour tout dire, c’était une chambre individuelle. C’est là que nos deux vieilles filles se disputèrent sur certains points controversés relatifs à la divinité: mais se disputèrent si violemment qu’il n’y eut jamais plus un mot prononcé entre elles depuis ce jour.
Vous auriez pensé qu’elles se seraient séparées: mais non; par manque de ressources, ou par peur écossaise du scandale, elles continuaient d’habiter ensemble là où elles étaient. Une ligne de craie tracée sur le sol séparait leur deux territoires; elle coupait en deux parties égales l’entrée et la cheminée, afin que chacune puisse entrer et sortir, et préparer son repas, sans violer le territoire de l’autre.
Réponse: re:Aide d'une version de lucile83, postée le 2004-12-03 19:54:55 (S | E)
voici la suite et fin;
Ainsi, depuis des années, elles coexistaient dans un silence haineux; leurs repas, leur toilette, leurs amis qui leur rendraient visite étaient soumis à un examen hostile; et la nuit, guettant dans l’ombre, chacune pouvait entendre le souffle de son ennemie. Il n’y eut jamais de spectacle aussi répugnant que celui de ces sœurs rivalisant de haine fraternelle.
Voilà la toile de fond qui transforma Hawthorne en image d’Epinal. Il avait un style puritain, qui lui aurait permis de traiter cette horreur puritaine, il aurait pu nous les montrer dans leurs maladies et leurs affreuses dévotions mutuelles appelant chacune leur Bible ou priant à haute voix, d’une façon proche de l’emphase pour la rédemption de l’autre ; à présent, chacune en jupon en forme de kilt dans leur coin respectif près de la cheminée par une soirée orageuse et assises à sa fenêtre, regardant dehors le paysage d’été s’étendant loin en dessous d’elles vers l’estuaire et le chemin où elles avaient jadis gambadé main dans la main ; comme l’âge et l’infirmité avançaient et prolongeait leur toilette, que leurs mains commençaient à trembler et leurs têtes à s’incliner involontairement, leur inimitié seulement grandissant avec les années jusqu’au jour où grâce à un mot, un regard, une visite ou l’approche de la mort, leurs cœurs accepteraient de se rejoindre et que la frontière de craie soit outrepassée à jamais.
Réponse: re:Aide d'une version de bridg, postée le 2004-12-03 20:09:30 (S | E)
Voilà c'est un avis pour tous les futurs membres de l'académie de woodstockcapes:
Lucile avait promis la traduction en 10mn or elle ne l'a fournie qu'au bout de 12mn. Devant nos sourires peu narquois elle menace de partir seule et tout de suite en Martinique. HELP !!!!!!!!!!!
Réponse: re:Aide d'une version de gorgayles, postée le 2004-12-03 20:13:28 (S | E)
je suis d'accord avec bridg je suis déçu de la part d'un professeur de nous rendre une copie avec un retard pareil. En plus pour nous échapper elle veux littéralement fuir sous le soleil.
Réponse: re:Aide d'une version de cocoon, postée le 2004-12-03 20:33:04 (S | E)
Oh-My-God! Comme dirait Janis dans "Friends". C'est une honte lucile! Deux minutes de retard... shame on you.
Et on est sensé être motivé avec des professeurs pareils... Mais où va le monde? Je vous le demande!
Bridg, tu n'arrêtes pas! C'est fou! Tu vas la refaire combien de fois cette fin?
Elle est bien! Je vous demande de vous arrêter!
Réponse: re:réponse à l'aide en version de alex35, postée le 2004-12-03 20:36:33 (S | E)
à tous. Vous m'avez été d'une aide très précieuse. C'est la première fois que j'utilise ce forum.
et j'ai un peu de mal à l'utiliser pour remercier toutes les personnes qui m'ont aidées.
En tout cas, merci beaucoup !!
Alex
Réponse: re:Aide d'une version de bridg, postée le 2004-12-03 21:35:29 (S | E)
Alex et pour cocoon, on ne change pas une équipe qui gagne
Réponse: re:Aide d'une version de gartin, postée le 2004-12-15 15:57:30 (S | E)
Hello Alex,
Je suppose qu'après avoir rendu ton travail, le prof a dû te communiquer le texte originel pour la correction.
Si tu pouvais nous en faire bénéficier, ce serait un bon exercice pour nous aussi, de vérifier notre prose !
Merci d'avance
Réponse: re:Aide d'une version de marie37400, postée le 2004-12-15 17:51:53 (S | E)
Hi, Alex,
Je viens me joindre à tous ceux et celles qui sont venus travailler sur ce texte très difficile. Je ne me permettrai pas de venir y ajouter quelque chose (sauf que je vais y travailler sur mon ordi ) , vu la qualité et la quantité du travail qu'ils ont fourni, mais je pense sincèrement que tous méritent vraiment de voir la correction de ton prof.
D'avance merci,
Marie
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