Ex 225/ another story
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Message de here4u posté le 13-04-2022 à 13:02:28 (S | E | F)
Hello, dear workers and friends!
Voici un nouveau texte, un nouveau style, une nouvelle histoire ! Est-elle plus facile à comprendre, à traduire ? Peut-être ... Vous me le direz !
Je vous dis simplement : bon courage ! Adaptez-vous bien ! Cet exercice est un et le corrigé sera en ligne le jeudi 28 avril.
Translate into French:
On the day that the bus came to take her with her belongings to the town with the airport, Gabriella came out on her steps. She didn’t speak and nor did Signora, but they bowed to each other. Their faces were grave and respectful. Some of those who watched the little scene knew what was being said. They knew that one woman was thanking the other with all her heart in a way that could never be put into words, and wishing her good fortune in whatever lay ahead.
It was loud and crowded in the city, and the airport was full of noise and bustle, not the happy, easy bustle of Annunziata but people rushing without meeting each other’s gaze. It would be like this in Dublin too, when she got back there, but Signora decided not to think about it.
She had made no plans, she would just do what seemed the right thing to do when she got there. No point in wasting her journey planning what could not be planned. She had told no one that she was coming. Not her family, not even Brenda. She would find her room and look after herself as she had always done, and then she would work out what to do next.
On the plane she began talking to a boy. He was about ten, the age of Mario and Gabriella’s youngest son, Enrico. Automatically she spoke to him in Italian, but he looked away confused.
Maeve BINCHY, Evening Class.
I give you THE FORCE! , give me your ideas and your enthusiasm...
Message de here4u posté le 13-04-2022 à 13:02:28 (S | E | F)
Hello, dear workers and friends!
Voici un nouveau texte, un nouveau style, une nouvelle histoire ! Est-elle plus facile à comprendre, à traduire ? Peut-être ... Vous me le direz !
Je vous dis simplement : bon courage ! Adaptez-vous bien ! Cet exercice est un et le corrigé sera en ligne le jeudi 28 avril.
Translate into French:
On the day that the bus came to take her with her belongings to the town with the airport, Gabriella came out on her steps. She didn’t speak and nor did Signora, but they bowed to each other. Their faces were grave and respectful. Some of those who watched the little scene knew what was being said. They knew that one woman was thanking the other with all her heart in a way that could never be put into words, and wishing her good fortune in whatever lay ahead.
It was loud and crowded in the city, and the airport was full of noise and bustle, not the happy, easy bustle of Annunziata but people rushing without meeting each other’s gaze. It would be like this in Dublin too, when she got back there, but Signora decided not to think about it.
She had made no plans, she would just do what seemed the right thing to do when she got there. No point in wasting her journey planning what could not be planned. She had told no one that she was coming. Not her family, not even Brenda. She would find her room and look after herself as she had always done, and then she would work out what to do next.
On the plane she began talking to a boy. He was about ten, the age of Mario and Gabriella’s youngest son, Enrico. Automatically she spoke to him in Italian, but he looked away confused.
Maeve BINCHY, Evening Class.
I give you THE FORCE! , give me your ideas and your enthusiasm...
Réponse : Ex 225/ another story de maxwell, postée le 18-04-2022 à 21:08:58 (S | E)
READY TO BE CORRECTED
Hello Here4U
It didn't seem too difficult but finding the right word is not easy
Translate into French:
On the day that the bus came to take her with her belongings to the town with the airport, Gabriella came out on her steps. She didn’t speak and nor did Signora, but they bowed to each other. Their faces were grave and respectful. Some of those who watched the little scene knew what was being said. They knew that one woman was thanking the other with all her heart in a way that could never be put into words, and wishing her good fortune in whatever lay ahead.
It was loud and crowded in the city, and the airport was full of noise and bustle, not the happy, easy bustle of Annunziata but people rushing without meeting each other’s gaze. It would be like this in Dublin too, when she got back there, but Signora decided not to think about it.
She had made no plans, she would just do what seemed the right thing to do when she got there. No point in wasting her journey planning what could not be planned. She had told no one that she was coming. Not her family, not even Brenda. She would find her room and look after herself as she had always done, and then she would work out what to do next.
On the plane she began talking to a boy. He was about ten, the age of Mario and Gabriella’s youngest son, Enrico. Automatically she spoke to him in Italian, but he looked away confused.
Maeve BINCHY, Evening Class.
Le jour où le bus vint pour la mener jusqu'à la ville à l'aéroport avec ses affaires, Gabriella vint au devant d'elle. Elle ne parla pas, tout comme Signora, mais chacune s'inclina devant l'autre. Leurs visages étaient graves et respectueux. Certains parmi ceux qui assistèrent à cette petite scène savaient ce qui se disait. Ils savaient qu'une femme remerciait l'autre de tout son coeur d'une façon indescriptible, et en lui souhaitant bonne chance dans tout ce qui l'attendait.
La ville était bruyante et peuplée et l'aéroport était plein de bruit et de remue-ménage, pas la joyeuse et douce agitation d'Annunziata, mais des gens se précipitant sans croiser le regard des autres. Ce serait également comme cela à Dublin quand elle y reviendrait, mais Signora décida de ne pas y penser.
Elle n'avait rien prévu, elle ferait simplement ce qui semblait la chose à faire quand elle serait arrivée. Ce n'était pas la peine de gâcher son voyage en planifiant ce qui ne pouvait pas être planifié. Elle n'avait dit à personne qu'elle arrivait. Ni à sa famille, pas même à Brenda. Elle se trouverait une chambre et s'occuperait d'elle-même comme elle l'avait toujours fait, et alors elle trouverait quoi faire ensuite.
Dans l'avion, elle se mit à parler à un garçon. Il avait à peu près dix ans, l'âge de Mario et de Enrico, le plus jeune fils de Gabriella. Elle lui parla automatiquement en italien, mais il détourna le regard, perplexe.
Réponse : Ex 225/ another story de amalia80, postée le 19-04-2022 à 08:15:08 (S | E)
Hello HERE4U
It was not too difficult to understand but not very easy to find the right word to translate.
Thank you for the correction
Le jour où le bus vint pour la conduire avec ses affaires en ville, à l'aéroport; Gabriella sortit en la suivant. Elle ne parla pas et Signora non plus, mais elles se saluèrent en s'inclinant .Leurs visages étaient graves et respectueux. Certains de ceux qui regardèrent la petite scène comprirent ce que cela signifiait. Ils savaient qu'une femme remerciait l'autre de tout son cœur ,d'une façon qui ne pourrait jamais être exprimée par des mots ,et lui souhaitait bonne chance pour tout ce qui l'attendait .
La ville était bruyante et bondée ,et l'aéroport était plein de bruit et d'agitation, pas l'agitation joyeuse et légère d'Annunziata ,mais des gens se précipitant sans croiser le regard des autres. Ce serait comme cela aussi à Dublin quand elle y retournerait, mais Signora décida de ne pas y penser.
Elle n'avait rien planifié ,elle ferait juste ce qui lui semblait être la bonne chose à faire quand elle y serait. Inutile de gâcher son voyage en planifiant ce qui ne pouvait pas l' être . Elle n'avait dit à personne qu'elle venait. Ni à sa famille, ni même à Brenda. Elle se trouverait une chambre et prendrait soin d'elle même comme elle l'avait toujours fait, puis elle réfléchirait à ce qu'elle devait faire ensuite.
Dans l'avion elle commença à parler à un garçon. Il avait à peu près dix ans ,l'âge d'Enrico le plus jeune fils de Gabriella et de Mario. Automatiquement elle lui parla en italien, mais il regarda ailleurs, déconcerté .
Maeve Binchy,Evening classes
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Modifié par amalia80 le 20-04-2022 06:35
Réponse : Ex 225/ another story de melena53, postée le 19-04-2022 à 16:09:36 (S | E)
Hello here4u
Voici la traduction du texte(selon mon ressenti)
Le jour où le bus est venu l'emmener avec ses affaires à l'aéroport de la ville, Gabriella est sortie sur les pas de Signora. Elle ne parlait pas et Signora non plus, mais elles se saluèrent. Leurs visages étaient graves et respectueux. Certains de ceux qui regardaient la petite scène savaient ce qui se disait. Ils savaient qu'une femme remerciait l'autre de tout son cœur d'une manière qui ne pourrait jamais être exprimée en mots et lui souhaitait bonne chance dans tout ce qui l’attendait.
C'était bruyant et bondé dans la ville, et l'aéroport était plein de bruit et d'agitation, pas l'agitation joyeuse et facile d'Annunziata, mais les gens se précipitaient sans même se regarder. Ce serait pareil à Dublin aussi, quand elle y rentrerait, mais Signora décida de ne pas y penser.
Elle n'avait fait aucun plan, elle ferait juste ce qui lui semblait être la bonne chose à faire quand elle arriverait là-bas. Inutile de gâcher son voyage en planifiant ce qui ne pouvait pas être planifié. Elle n'avait dit à personne qu'elle venait. Ni à sa famille, ni même à Brenda. Elle trouverait sa chambre et s'occuperait d'elle-même comme elle l'avait toujours fait, puis elle déterminerait quoi faire ensuite.
Dans l'avion, elle commença à parler à un garçon. Il avait environ dix ans, l'âge d’Enrico, le plus jeune fils de Mario et Gabriella. Elle lui parla automatiquement en italien, mais il détourna le regard, confus.
Réponse : Ex 225/ another story de littlerene24, postée le 19-04-2022 à 21:22:54 (S | E)
Hello HERE4U, hello everybody !
Le jour où le bus vint la prendre pour l'emmener avec ses affaires à la ville où était l'aéroport, Gabriella sortit sur son passage. Elle ne dit rien, Signora non plus, mais elles se saluèrent. Leurs visages étaient graves et empreints de respect. Quelques uns parmi ceux qui observaient la brève scène, savaient ce qui se disait. Ils savaient qu'une femme était en train de remercier l'autre de tout son cœur, d'une manière que cela ne pouvait être mis en mots, et qu'elle lui souhaitait bonne chance pour ce qui l'attendait.
La ville était bruyante et bondée de monde, et l'aéroport était plein de bruit et d'animation, non pas la joyeuse et simple animation d'Annunziata, mais les gens se précipitaient sans un regard pour les autres. Ce serait pareil à Dublin, quand elle reviendrait, mais Signora décida de ne pas y penser.
Elle n'avait rien planifier, elle ferait juste ce qui lui semblerait la meilleure chose à faire quand elle y serait. Pas question de gâcher son voyage à planifier ce qui ne peut l'être. Elle n'avait dit à personne qu'elle venait. Ni à sa famille, ni à Brenda. Elle trouverait une chambre et s'occuperait d'elle-même comme elle l'avait toujours fait, elle verrait alors quoi faire ensuite.
Dans l'avion elle commença à parler avec un garçon. Il avait environ dix ans, l'âge de Mario et du plus jeune fils de Gabriella, Enrico. Spontanément, elle s'adressa à lui en italien, mais, déconcerté, il détourna le regard.
Maeve Binchy, Evening classes.
Not great difficult to translate, but I keep confused. Who is who? Many characters, Gabriella, Signora (a nickname?), Brenda, Mario, Enrico. Where are they at the beginning? From where does Signora take her plane? Not from Annunziata? not from Dublin? Which is the town with the airport?
Maybe I have to read the book by Maeve Binchy.
Réponse : Ex 225/ another story de here4u, postée le 19-04-2022 à 21:45:49 (S | E)
Hello!
Don't worry! You don't have to read the book to understand the text...
Ici, nous sommes précipités dans la narration in medias res, au milieu de l'action ... et sans aucune connaissance préalable. Aucune n'est d'ailleurs nécessaire. Il vous "suffit" de prendre votre texte à bras-le-corps ... le texte, rien que le texte ! et petit à petit, à chaque lecture, à chaque construction grammaticale employée, il va se dévoiler à vous ... Courage !
Réponse : Ex 225/ another story de swan85, postée le 20-04-2022 à 12:52:11 (S | E)
Hello Here4U
Thank you for this new exercise.
Here is what I tried to do : Ready to be corrected
le jour où l’autocar vint la chercher avec ses affaires dans la ville où était situé l’aéroport, Gabriella apparût sur les marches pour l’accueillir. Elles ne se parlèrent pas, mais se saluèrent. Leurs visages étaient graves et respectueux. Certains de ceux qui regardaient cette petite scène imaginaient ce qui se disait. Ils savaient que l’une d’elle remerciait l’autre de tout cœur à tel point qu’il n’y avait pas de mots pour le dire et en lui souhaitant bonne chance pour ce qui l’attendait.
La ville était tumultueuse et noire de monde, il y avait beaucoup de bruit et d’agitation dans l’aéroport, pas l’agitation facile et heureuse d’Annunziata mais des gens qui se précipitaient sans se regarder. Ce serait aussi comme cela à Dublin lorsqu’elle y reviendrait, mais Signora a décidé de ne pas y penser.
Elle n’avait rien prévu, elle ferait juste ce qui lui semblait être la bonne chose à faire quand elle serait sur place. Inutile de gâcher son voyage en programmant ce qui ne pouvait pas l’être. Elle n’avait prévenu personne de son arrivée. Ni sa famille, ni même Brenda. Elle trouverait sa chambre et s’occuperait d’elle-même comme elle l’avait toujours fait, et verrait ensuite ce qu’il y a à faire.
Dans l’avion elle avait engagé une conversation avec un garçon. Il avait environ 10 ans, l’âge du plus jeune fils de Mario et Gabriella, Enrico. Elle lui avait parlé automatiquement en italien, mais il avait détourné les yeux, confus.
Maeve BINCHY, Evening Class.
Réponse : Ex 225/ another story de maya92, postée le 21-04-2022 à 17:31:21 (S | E)
Hello Here4u,
ready
On the day that the bus came to take her with her belongings to the town with the airport, Gabriella came out on her steps. She didn’t speak and nor did Signora, but they bowed to each other. Their faces were grave and respectful. Some of those who watched the little scene knew what was being said. They knew that one woman was thanking the other with all her heart in a way that could never be put into words, and wishing her good fortune in whatever lay ahead.
It was loud and crowded in the city, and the airport was full of noise and bustle, not the happy, easy bustle of Annunziata but people rushing without meeting each other’s gaze. It would be like this in Dublin too, when she got back there, but Signora decided not to think about it.
She had made no plans, she would just do what seemed the right thing to do when she got there. No point in wasting her journey planning what could not be planned. She had told no one that she was coming. Not her family, not even Brenda. She would find her room and look after herself as she had always done, and then she would work out what to do next.
On the plane she began talking to a boy. He was about ten, the age of Mario and Gabriella’s youngest son, Enrico. Automatically she spoke to him in Italian, but he looked away confused.
Maeve BINCHY, Evening Class.
Le jour où elle prit le bus avec toutes ses affaires pour aller jusqu’à la ville où était l’aéroport. Gabriella la suivit. Elle se taisait et Signora aussi mais elles se saluèrent. Leurs visages étaient graves et attentifs. Certains parmi ceux qui observaient cette petite scène savaient ce qu’elles se disaient. Ils savaient que l’une des deux femmes remerciait l’autre de tout son coeur, d’une manière indicible et lui souhaitait bonne chance pour tout ce qui l’attendait.
La ville était agité et grouillante et l’aéroport assourdissant et effervescent, pas l’effervescence joyeuse et décontractée d’Annunziata, mais des gens qui se hâtaient sans croiser le regard des autres. Ce serait la même chose à Dublin lorsqu’elle y arriverait mais Signora décida de ne pas y penser. Elle n’avait fait aucun projet, elle ferait seulement ce qui semblait la chose à faire lorsqu’elle serait là bas. Aucune raison de gâcher son voyage en planifiant ce qui ne pouvait pas être planifié. Elle n’avait dit à personne qu’elle revenait. Ni à sa famille ni même à Brenda. Elle trouverait une chambre et s’occuperait d’elle comme elle l’avait toujours fait et puis elle déciderait quoi faire après. Dans l’avion elle se mit à parler à un petit garçon. Il avait environ dix ans, l’âge de Mario et d’Enrico, le plus jeune fils de Gabriella. Sans réfléchir, elle lui parla en italien, mais il se détourna, embarrassé.
Well this one was so hard to put in French I spent hours trying to find th right adjective ....(and I'm not sur I have ..! )
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Modifié par lucile83 le 26-04-2022 18:14
bleu
Réponse : Ex 225/ another story de icare29, postée le 22-04-2022 à 11:31:22 (S | E)
Hello dear here4u , hello hardworkers , here is my work ..... READY
Thanks for your new test to translate...I will lie if I say that this text is easy to translate..
Le jour où le bus emmena Signora avec ses bagages à l'aéroport de la ville , Gabriella lui avait ouvert la voie , elle ne parla pas , Signora non plus . Leurs visages étaient graves et respectueux. Les quelques personnes qui regardaient la petite scène savaient ce qu'elles voulaient dire, à savoir que l'une des femmes remerciait l'autre de tout son coeur, avec des sentiments inexprimables avec les mots , et lui souhaitait bonne chance pour tout ce qu'il l'attendait par la suite.
La ville était bruyante et peuplée , l'aéroport plein de bruit et d'agitation, non pas l' agitation joyeuse et facile d'Annunziata, mais une agitation où les gens se pressaient, sans un regard l'un pour l'autre. Ce serait également la même situation à Dublin quand elle y reviendrait , mais Signora avait décidé de ne pas y penser .
Elle ne faisait aucun plan, elle ferait juste ce qui lui semblerait être la bonne chose à faire en arrivant sur place. Inutile de gâcher son voyage en voulant planifier ce qui ne pouvait pas être planifié. Elle n'avait prévenu personne qu'elle arrivait, ni sa famille , ni même Brenda. Elle trouverait sa chambre et s'occuperait d'elle-même comme elle l'avait toujours fait, puis elle trouverait une solution à ce qu'elle ferait par la suite.
Dans l'avion, elle engagea la conversation avec un jeune garçon, âgé d'une dizaine d'années, l'âge du plus jeune fils de Mario et de Gabriella, Enrico. Elle s' exprima spontanément en italien, mais le garçon détourna son regard, décontenancé.
Maeve Binchy, Evening classes.
Dear Here4u thanks for your correction
Réponse : Ex 225/ another story de mad14, postée le 26-04-2022 à 11:04:41 (S | E)
Good morning everyone, thank you Here4u
Ready
Le jour où le bus est venu pour l'emmener avec ses effets personnels pour l'aéroport de la ville, Gabriella croisa ses pas par hasard. Elle ne parlait pas Signora non plus, mais elles s'inclinèrent mutuellement dans une révérence. Leurs visages étaient graves et respectueux. Certains de ceux qui regardaient la scène savaient ce qu'il était en train d'être dit. Ils savaient qu'une des femmes remerciait l'autre de tout son coeur d'une manière qu'aucun mot ne pouvait exprimer et lui souhaitait bonne chance quoiqu'il arrive. La ville était bruyante et grouillante de monde et l'aéroport était rempli de bruit et d'agitation, pas l'agitation joyeuse, tranquille de "L'Annunziata" mais les gens se précipitaient sans se jeter aucun regard. Ce serait ainsi à Dublin aussi, quand elle y reviendrait, mais Signora décida de ne pas y penser. Elle n'avait fait aucun plan, elle ferait juste ce qui lui semblait la meilleure chose à faire quand elle y serait. Ne pas perdre sa journée en planifiant ce qui ne pourra être tenu. Elle n'avait dit à personne qu'elle venait. Pas à sa famille, pas même à Brenda. Elle trouverait sa chambre et se poserait des questions sur elle-même comme elle l'avait toujours fait, et elle déterminerait quoi faire ensuite.
Dans l'avion elle commença à parler à un garçon. Il avait environ dix ans, l'âge d'Enrico le plus jeune fils de Mario et Gabriella. Automatiquement elle lui parla en italien, mais il détourna le regard intimidé.
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Modifié par lucile83 le 26-04-2022 18:13
bleu
Réponse : Ex 225/ another story de lapinoues, postée le 26-04-2022 à 12:43:39 (S | E)
Hello Here4u, I hope I'm not too late! Thank you for your hard work... Ready
Le jour où le bus vint la chercher, elle et toutes ses affaires, pour l'amener jusqu'à la ville avec l'aéroport, Gabriella la suivit au dehors. Aucune des deux ne dit un mot, mais elles se saluèrent de la tête. Leurs visages étaient graves et pleins de respect. Quelques uns parmi ceux qui regardaient la petite scène savaient ce qu'elles se disaient. Ils savaient qu'une des deux femmes remerciait l'autre de tout son cœur, d'une façon qui ne pourrait jamais être exprimée avec des mots, et lui souhaitait bonne chance quels que soient les événements à venir.
La ville était bruyante et noire de monde, et l'aéroport plein de vacarme et d'agitation : pas l'agitation simple et bienheureuse d'Annunziata, mais de gens qui se pressaient sans rencontrer le regard des autres. Ce serait pareil à Dublin, une fois qu'elle y serait revenue, mais Signora décida de ne pas y penser.
Elle n'avait rien prévu, elle ferait simplement ce qui lui paraîtrait juste une fois là-bas. Ce n'était pas la peine de gâcher son voyage à planifier quelque chose qui ne pouvait l'être. Elle n'avait dit à personne qu'elle venait. Pas sa famille, pas même Brenda. Elle trouverait sa chambre et prendrait soin de sa personne, comme elle l'avait toujours fait, et ensuite elle aviserait quoi faire.
Dans l'avion elle engagea la conversation avec un petit garçon. Il avait à peu près 10 ans, l'âge d'Enrico, le plus jeune fils de Mario et Gabriella. Elle lui parla automatiquement en italien, mais il détourna le regard, perdu.
Maeve Binchy, Evening Class.
I hope I didn't screw up the tenses too much...
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Modifié par lucile83 le 26-04-2022 18:12
bleu
Réponse : Ex 225/ another story de magie8, postée le 27-04-2022 à 15:55:04 (S | E)
hello bonjour READY TO CORRECT
Translate into French:
On the day that the bus came to take her with her belongings to the town with the airport, Gabriella came out on her steps. She didn’t speak and nor did Signora, but they bowed to each other. Their faces were grave and respectful. Some of those who watched the little scene knew what was being said. They knew that one woman was thanking the other with all her heart in a way that could never be put into words, and wishing her good fortune in whatever lay ahead.
It was loud and crowded in the city, and the airport was full of noise and bustle, not the happy, easy bustle of Annunziata but people rushing without meeting each other’s gaze. It would be like this in Dublin too, when she got back there, but Signora decided not to think about it.
She had made no plans, she would just do what seemed the right thing to do when she got there. No point in wasting her journey planning what could not be planned. She had told no one that she was coming. Not her family, not even Brenda. She would find her room and look after herself as she had always done, and then she would work out what to do next.
On the plane she began talking to a boy. He was about ten, the age of Mario and Gabriella’s youngest son, Enrico. Automatically she spoke to him in Italian, but he looked away confused.
Maeve BINCHY, Evening Class.
Le jour où le bus vint la chercher pour la conduire avec ses affaires à la ville de l'aéroport, Gabriella marcha dans ses pas.(1) Elle ne parla pas et Signora non plus. Mais elles s'inclinèrent l'une vers l'autre. Leur visage était sérieux et empli de respect. Certains de ceux qui assistaient à la petite scène savait ce qui se passait. Ils comprenaient que l'une des femmes remerciait l'autre de tout son coeur d'une manière inexprimable avec des mots, en formant des voeux de bonne chance quoi qu'il arrive.
C'était tapageur et surpeuplé en ville, et l'aéroport était bruyant et grouillant d'activité, pas l'agitation joyeuse et tranquille d'Annunziata, mais les gens se ruaient sans se jeter un regard. Ce serait pareil à Dublin quand elle y reviendrait mais Signora décida de ne pas y penser.
Elle n'avait fait aucun projet. Elle ferait ce qui lui semblerait le mieux au moment opportun. Pas question de se gâcher le voyage à planifier des choses qui ne peuvent pas l'être. Elle n'avait dit à personne qu'elle venait. Pas à sa famille, ni même à Brenda. Elle se trouverait une chambre et prendrait soin d'elle comme elle l'avait toujours fait, et puis elle trouverait quoi faire ensuite.
Dans l'avion elle commença à parler à un garçon âgé d'une dizaine d'année environ , l'âge d'Enrico le plus jeune fils de Mario et Gabriella Automatiquement elle lui parla Italien , mais il détourna la tête désorienté.
1)Autres expressions trouvées : l'a suivie pas à pas, lui emboîta le pas , l'a suivie de près , marcha juste derrière elle.
Réponse : Ex 225/ another story de soliart, postée le 28-04-2022 à 15:14:29 (S | E)
Bonjour à toutes et à tous,
Je suis de retour sur le forum après de nombreuses années d'absence. (-:
J'étais plus particulièrement actif sur le site pendant mes études (LEA), il y a environ 6 ans.
Je suis ravi de découvrir que les exercises linguistiques vont bon train !
J'ai pris connaissance de celui-ci tout à l'heure et je vois que la correction ne va plus tarder, aussi je me permets d'apporter ma modeste contribution, avec certes un temps de traitement raccourci, mais beaucoup de plaisir ! j'ai deux propositions, la première somme toute basique, la seconde un tantinet plus littéraire. Je vous souhaite une agréable fin de semaine.
1)
Alors qu’elle s’apprêtait, parée de ses affaires, à prendre le bus pour rejoindre la ville en direction de l’aéroport, Gabriella lui emboîta le bas. Elle ne lâcha pas un mot, Signora non plus, mais elles hochèrent la tête l’une envers l’autre. La mine grave, elle étaient marquées par une attitude déférente.
Ceux qui observaient la scène savaient de quoi il en retourne. Ils devinaient qu’une femme en remerciait une autre avec tant d’amour qu’elle aurait été bien été incapable de le traduire en mots, et qu’elle lui souhaitait bonne chance dans sa vie future.
L’environnement bruyant et étouffant de la ville n’avait rien à envier au capharnaüm et au va et-vient de l’aéroport, non pas la douce agitation d’Annunziata mais bien plutôt celle des gens affairés dont les regards ne se croisent jamais. À son retour, ce ne sera pas bien différent à Dublin, mais Signora choisit de l’ignorer.
Elle n’avait rien planifié, elle s’en remettrait à son instinct une fois sur place.
À quoi bon gâcher son voyage à essayer de prévoir l’imprévisible. Ni sa famille ni même Brenda n’avaient été informées de son retour. Elle retrouverait sa chambre et s’occuperait d’elle comme elle l’a toujours fait, puis elle déciderait quoi faire ensuite.
Dans l’avion, elle se mit à parler à un jeune garçon qui devait avoir une dizaine années, l’âge du (fils) cadet de Mario et Gabriella, Enrico. Instinctivement, elle s’adressa à lui en Italien, mais l’enfant détourna le regard l’air confus.
Maeve BINCHY, Cours du soir.
2)
Le jour où le bus qui transporterait Signora et ses effet personnels à travers la ville en direction de l’aéroport arriva, Gabriella la rejoignit sur le perron. Ni elle si Signora ne lâchèrent un moi, mais toutes deux se saluèrent de la tête. Empreintes de respect (l’une pour l’autre), elles avaient (toutes deux) le visage grave.
Ceux qui prenaient part à cette séquence (de vie) savaient ce qu’il en était. Tous comprenaient que cette femme en remerciait une autre de toute son âme et d’une façon que le Verbe (à lui seul) ne saurait retranscrire, lui offrant ses meilleurs vœux pour l’avenir.
L’environnement bruyant et étouffant de la ville n’avait rien à envier au capharnaüm et au va et-vient de l’aéroport, non pas la douce agitation de Torre Annunziata mais bien plutôt celle des gens affairés dont les regards ne se croisent jamais. Ce n’était pas bien différent de ce qui l’attendait à Dublin, mais Signora décida de ne pas y penser.
Elle n’avait rien planifié, elle s’en remettrait à son instinct une fois rendue là-bas.
À quoi bon gâcher son voyage à essayer de prévoir l’imprévisible. Elle avait tu son retour à ses proches, même Brenda n’avait pas fait exception. Elle retrouverait sa chambre et s’occuperait d’elle comme elle l’a toujours fait, puis elle déciderait quoi faire ensuite.
Dans l’avion, elle se mit à parler à un jeune garçon qui devait avoir une dizaine années, l’âge du (fils) cadet de Mario et Gabriella, Enrico. Instinctivement, elle s’adressa à lui en Italien, mais l’enfant détourna le regard l’air confus.
Maeve BINCHY, Evening Class.
Réponse : Ex 225/ another story de here4u, postée le 28-04-2022 à 23:42:57 (S | E)
Hello dear All!
Voici donc les propositions pour la version au sujet de Signora ... Cette dame vous a fort intrigués ... Il faut dire qu'elle est assez complexe, surprenante aussi, et n'est donc pas toujours facile à comprendre ...
Juste un petit conseil : lorsque vous devez comprendre un texte qui vous arrive "in medias res", c'est à dire au milieu d'une action déjà commencée dont nous ne savons rien, contentez-vous du TEXTE, et rien que du texte. Accrochez-vous y bien ! Si vous le suivez assez, par les mots et la grammaire employés, il vous donne ce qui est nécessaire et suffisant pour le comprendre ... et tout, ... ou presque ... deviendra clair !
Translate into French:
On the day that the bus came to take her with her belongings to the town with the airport, Gabriella came out on her steps . She didn’t speak and nor did Signora, but they bowed to each other. Their faces were grave and respectful. Some of those who watched the little scene knew what was being said. They knew that one woman was thanking the other with all her heart in a way that could never be put into words, and wishing her good fortune in whatever lay ahead.
It was loud and crowded in the city, and the airport was full of noise and bustle, not the happy, easy bustle of Annunziata but people rushing without meeting each other’s gaze. It would be like this in Dublin too, when she got back there, but Signora decided not to think about it.
She had made no plans, she would just do what seemed the right thing to do when she got there. No point in wasting her journey planning what could not be planned. She had told no one that she was coming. Not her family, not even Brenda. She would find her room and look after herself as she had always done, and then she would work out what to do next.
On the plane she began talking to a boy. He was about ten, the age of Mario and Gabriella’s youngest son, Enrico. Automatically she spoke to him in Italian, but he looked away confused.
Maeve BINCHY, Evening Class.
Le jour où le bus arriva pour la conduire (1), avec ses affaires, vers la ville où était l’aéroport, Gabriella sortit (2) sur son perron. Elle ne parla pas, et Signora non plus, mais (3) chacune s’inclina devant l’autre. Elles avaient le visage grave et respectueux. Certains de ceux qui voyaient la petite scène savaient ce qui se disait. (*) Ceux là (4) comprenaient que l’une des femmes remerciait l’autre de tout son cœur d’une façon (5) que les mots ne pourraient jamais exprimer, et lui souhaitait bonne chance pour tout ce qui l’attendait.
La ville était tumultueuse et noire de monde et l’aéroport bruyant et agité, non pas de l’agitation joyeuse et légère d’Annunziata, mais de celle de gens qui se précipitaient sans même se regarder. Il en serait ainsi à Dublin aussi, lorsqu’elle y serait de retour (6), mais Signora décida de ne pas y penser.
Elle n’avait fait aucun projet ; lorsqu’elle y arriverait (6), elle ferait juste ce qui lui semblait être la bonne chose à faire. Inutile de gâcher (7) son voyage à essayer de prévoir ce qui ne pouvait pas l’être. Elle n’avait dit à personne qu’elle venait : ni à sa famille, ni même à Brenda. Elle se trouverait une chambre (8) et prendrait soin d’elle-même comme elle l’avait toujours fait, et puis elle déciderait quoi faire ensuite.
Dans l’avion, elle se mit à parler à un jeune garçon. Il avait dans les 10 ans, l’âge d’Enrico, le plus jeune fils de Mario et Gabriella.(9)
Spontanément, elle lui parla en italien, mais un peu perdu, il détourna le regard.
(1) « la mener »/ la conduire : plutôt que l’amener/ l’emmener (par la main) ou l’emporter …
«to the town with the airport»: vous montrait que ce n’était pas la ville où elle était [Annunziata: un village de Sicile], mais une ville différente, plus importante.
(2) Gabriella came out on her steps : bien sûr, a « step » : est un pas, mais c’est aussi une marche (d’escalier) ; the steps : les marches, mais (front) steps/ (outside), steps c’est un perron. : sortit sur ses marches/ sur son perron (Attention ! Gabriella ne suit pas Signora ! ) C’est Signora qui va la saluer …
La famille de Mario et Gabriella et Signora habitent de part et d’autre d’une petite place du village d’Annunziata. Signora est d’origine irlandaise et vit dans ce village depuis plus de 25 ans. ( Je pourrai vous en di theyre plus, sans trahir la suite de l’histoire, si vous y tenez … ou vous pouvez émettre des hypothèses (en anglais …) si vous le désirez !
(3) bowed to each other : elles se saluèrent/ s’inclinèrent/ chacune s’inclina devant l’autre
(*) On sent qu’il y a un « secret » …
(4) ceux là : some of those: some of the people who knew the secret…
(5) in a way that could never be put into words: que les mots ne pourraient pas/ jamais/ exprimer/ l’on ne pouvait pas verbaliser/ d’une façon indicible/
- crowded: noire de monde/ très peuplée / bondée/
(6) C’était ce que j’avais considéré, à la lecture, comme LA difficulté … Bien penser à rétablir les conditionnels après les conjonctions temporelles en français … Vous m’avez bien eue ! BRAVO !
(7) (There’s) No point in : (Il est) inutile de/ ça ne sert à rien de /
(8) Là aussi, Signora vous a trompés ... "She would find her room": ce qui serait "sa" pièce, "sa" chambre ... mais ne l'était pas encore ! Signora l'imaginait ! Elle se trouverait un logement à Dublin, ville où elle avait vécu vingt-six ans plus tôt. Rien ne personne ne l'attendait là-bas !
(9) Oh là lààààà ! Grosse surprise (mauvaise surprise …) et déception … "the age of Mario and Gabriella’s youngest son, Enrico.": Mario and Gabriella’s son: le fils qu’ils ont eu ensemble ! Mario est donc le père, Gabriella, la mère et Enrico, leur dernier fils (leur benjamin - dans l'ordre : aîné - cadet - benjamin- et il y avait au moins trois fils - comme le montrait le superlatif - en fait, ils en avaient eu 4!).
Lien internet
(Numéro 4) OK! Explication un peu rapide … je pense que je vais refaire un exercice avec des possesseurs multiples ou différents !
- "Automatically": Sans réfléchir/ Spontanément, mais pas "automatiquement"...
- "[he looked away] confused.": un peu perdu/ perplexe/ déconcerté/ surpris/.
Voilà ! Vous en savez maintenant un peu plus sur Signora ... Nous la retrouverons dans la prochaine version et j'espère qu'elle ne vous "fera plus peur" !
Encore BRAVO à tous pour votre très beau travail et d'avoir été nombreux à travailler pour notre groupe, malgré les vacances !
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