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Message de bernard02 posté le 04-12-2012 à 18:29:59 (S | E | F)
Bonjour à toutes et à tous,
pouvez-vous me dire, s'il vous plaît, si la traduction suivante (de l'anglais vers le français) est correcte ou s'il y a des améliorations à apporter ?
Merci d'avance pour vos réponses.
Source: The Guardian|Friday January 25 2008 Justin McCurry Tokyo
Win your lover back (for 3,300 pounds a month)
Japaneses agencies offer reconciliations by stealth
Some remarry without knowing they were targets.
A decade after the appearance of yamesaseya, professional “splitters” who specialised in ending relationships at the behest of an unhappy, but timid, partner, Japan is in the midst of a boom in services that promise the opposite: reuniting couples months, and sometimes years, after they have gone their separate ways.
Ladies Secret Service, a private detective agency in Tokyo's upmarket Ginza district, has successfully rekindled romances on behalf of hundreds of men and women who are prepared to spend huge sums on their quest to win back former lovers.
The agency's president, Yoshiko Okawa, employs about 300 men and women who are selected for their ability to befriend their targets and convince them that breaking up with an ex-lover or divorcing their spouse was the biggest mistake of their lives.
Her team of fukuenya - “those who restore bonds” - use hi-tech surveillance, counselling and outright deception to achieve the most unlikely reconciliations.
“After they have won the target's trust, they might mention our client in passing and feign amazement when they realise they have a mutual acquaintance,” Okawa said, as she sat in her office surrounded by an array of hi-tech surveillance gadgets.
“All the while our agents are learning as much about their new friend as possible and devising a plan to reunite him or her with our client.” The trigger for reconciliation could be a chance meeting in the street or a location that evokes happy memories of their time together, she said.
In 2005 Ladies Secret Service received 110 requests for help, rising to 430 by the end of 2006. Last year it handled more than 800 cases. About 70% of its clients are women, aged between 20 and 40, who are prepared to spend up to 700,000 yen (3,300 pounds) a month to win back their men.
"We relay any complaints the target has to our client, so they can decide whether to make the necessary changes to repair their relationship," Okawa said. "It could be a divorcee who wants to get back with her ex-husband, but who needs to change her appearance or keep the house tidier before there is any chance of that happening."
When the obstacle to a possible reconciliation is a third person, the agents face the task of engineering the end of one relationship before they can repair the other.
"We do an incredible amount of research into the new man or woman in our target's life, and then drop hints that he or she is unsuitable," says Okawa, a 40-year-old former office worker whose divorce - and infatuation with James Bond films - prompted her career change.
"Before long the target knows all about his new lover's debt problems, her sordid past, or the fact that she has a young child she failed to mention." The tactic is reminiscent of the yamesaseya, whose expertise in breaking up relationships was in greatest demand a few years ago.
Typically, fukuenya agents are presentable and sociable, but insiders say the most successful have a quick mind as well as good looks. "They've got to be able to think on their feet and stand out in some way," said Satoyo Nakamura, who reunites couples for another company, the Japan Research Information Centre.
"Looks alone aren't usually enough to bring in the results you get paid to produce," Nakamura told a weekly magazine. "It's a job that requires being able to assume the role of a counsellor who can bring about radical changes in thinking, not just in the target, but also in the client. It's an extremely difficult job."
Fukuenya carry out their operations in utmost secrecy. Even when attempts at reconciliation are successful, the targets must never learn how they came about, says Okawa, who routinely refuses media requests to interview clients or agents.
In one typical case an agent tried to convince a bar hostess to go back to her ex-husband. Over five months he frequented the woman's club pretending to be a wealthy businessman, accompanied by a friend posing as a fortune teller.
He spoke about how his friend's psychic insights had helped him become rich, and before long the hostess agreed to have her fortune read. The soothsayer's advice was, of course, to return to her ex-husband. They reunited and eventually remarried.
She puts her success rate at around 50%, and Okawa believes that as long as Japan can stave off recession, more lovelorn people will seek her help. "When the economy was in real trouble, people were defeatist and tended to give up on relationships too easily, even if money wasn't the actual cause of the break-up," she said. "Now that they have more money in their pockets they are naturally more optimistic, even about winning back old flames."
Traduction:
Reconquérir votre amour (pour 3,300 livres par mois)
Des agences japonaises proposent des réconciliations furtives.
Quelques-uns se remarient sans savoir qu'ils ont été des cibles.
Une décennie après l'apparition d'yamesaseya, les "séparateurs" professionnels qui s'étaient spécialisés pour mettre un terme à des relations sur l'ordre d'un malheureux, mais timide, partenaire, le Japon est au milieu d'un boom pour les services qui promettent le contraire: réunir des couples, des mois et parfois des années, après que leurs chemins se soient séparés.
Ladies Secret Service, une agence de détectives privés dans le quartier hupé de Ginza à Tokyo, ont ravivé avec succès rallumé des idylles pour le compte de centaines d'hommes et de femmes qui étaient prêts à dépenser des sommes énormes pour retrouver et reconquérir leurs anciens amants.
La présidente de l'agence, Yoshiko Okawa, emploie environ 300 hommes et femmes qui sont choisis pour leur capacité à se lier d'amitié avec leurs cibles et les convaincre que leur séparation avec leur ex-amant ou leur divorce avec leur ex-conjoint était la plus grande erreur de leurs vies.
Son équipe de fukuenya - "ceux qui restaurent les liens" - utilise des moyens de haute technologie pour surveiller, les conseils et la tromperie totale pour accomplir les réconciliations les plus improbables.
"Après qu'ils aient gagné la confiance de la cible, il se pourrait qu'ils parlent de notre client en feignant la stupéfaction quand ils se rendent compte qu'ils ont une connaissance mutuelle," a dit Okawa, alors qu'elle était assise dans son bureau entourée par une gamme de gadgets de surveillance de haute technologie.
"Tout le temps, nos agents en apprennent le plus possible de leur nouvel ami et conçoivent un plan pour le ou la remettre avec notre client." L'élément déclenchant de la réconciliation pourrait être une rencontre fortuite dans la rue ou dans un endroit qui évoque des souvenirs heureux de leur vie ensemble, dit-elle.
En 2005 Ladies Secret Service a reçu 110 demandes d'aide, ce chiffre a monté à 430 vers la fin de 2006. L'année dernière, ils ont traité plus de 800 cas. Environ 70 % de ses clients sont des femmes, âgées de 20 à 40 ans, qui sont prêtes à dépenser jusqu'à 700,000 yens (3,300 livres) par mois pour reconquérir leurs hommes.
"Nous retransmettons toutes les plaintes de la cible à notre client, donc il peut décider de faire les changements nécessaires pour rétablir sa relation," a dit Okawa. "Cela pourrait être un divorcé qui veut revenir avec son ex-mari, mais qui doit changer son apparence ou mieux ranger la maison avant qu'il y ait la moindre chance que cela puisse se produire."
Quand l'obstacle à une réconciliation possible est un tiers, les agents font face à la tâche d'organiser la fin d'une relation avant qu'ils ne puissent rétablir l'autre.
"Nous faisons un nombre incroyable de recherches dans la vie du nouvel homme ou de la nouvelle femme de notre cible et nous lâchons ensuite des allusions comme quoi il ou elle ne lui convient pas," dit Okawa, une ancienne employée de bureau de 40 ans dont le divorce - et l'engouement pour les films de James Bond - a provoqué son changement de carrière.
"Avant longtemps, la cible connaît tout des problèmes de dettes de sa nouvelle compagne, son passé sordide, ou le fait qu'elle a un jeune enfant qu'elle a omis de mentionner."
La méthode n'est pas sans rappeler l'yamesaseya, dont l'expertise pour rompre des relations était la plus demandée il y a quelques années.
Typiquement, les agents de fukuenya sont présentables et sociables, mais les initiés disent que ceux qui réussissent le mieux sont ceux qui ont à la fois l'esprit vif et une belle apparence. "Ils doivent pouvoir se débrouiller rapidement et se sortir du lot d'une certaine façon," a dit Satoyo Nakamura, qui réunit des couples pour une autre société, le Japan Research Information Centre.
"L'apparence seule ne suffit pas d'habitude pour obtenir les résultats pour lesquels vous êtes payés," a dit Nakamura dans un magazine hebdomadaire. "C'est un travail qui exige la capacité d'assumer le rôle d'un conseiller qui peut apporter des changements radicaux dans la façon de penser, pas seulement de la cible, mais aussi du client. C'est un travail extrêmement difficile."
Fukuenya effectuent leurs opérations dans le plus grand secret. Même quand les tentatives de conciliation réussissent, les cibles ne doivent jamais apprendre comment ils sont revenus, dit Okawa, qui refuse systématiquement les demandes des médias pour interviewer des clients ou des agents.
Dans un cas typique un agent a essayé de convaincre une hôtesse de bar de retourner avec son ex-mari. Pendant cinq mois il a fréquenté le club de la femme faisant semblant d'être un homme d'affaires riche, accompagné d'un ami se faisant passer pour un diseur de bonne aventure.
Il a raconté comment les dons psychiques de son ami l'avaient aidé à devenir riche et en peu de temps l'hôtesse a accepté de se faire prédire l'avenir. Les conseils du devin ont été, bien sûr, de retourner avec son ex-mari. Ils se sont remis ensemble et se sont finalement remariés.
Elle évalue son taux de réussite à environ 50 % et Okawa pense que tant que le Japon pourra conjurer la récession, les gens qui sont les plus malheureux en amour rechercheront son aide. "Quand l'économie était réellement en crise, les gens étaient défaitistes et avaient tendance à abandonner leurs relations trop facilement, même si l'argent n'était pas la cause réelle de la séparation," a-t-elle dit. "Maintenant qu'ils ont plus d'argent dans leurs poches ils sont naturellement plus optimistes, même pour raviver des anciennes flammes."
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Modifié par bernard02 le 04-12-2012 18:30
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Modifié par lucile83 le 04-12-2012 21:16
Message de bernard02 posté le 04-12-2012 à 18:29:59 (S | E | F)
Bonjour à toutes et à tous,
pouvez-vous me dire, s'il vous plaît, si la traduction suivante (de l'anglais vers le français) est correcte ou s'il y a des améliorations à apporter ?
Merci d'avance pour vos réponses.
Source: The Guardian|Friday January 25 2008 Justin McCurry Tokyo
Win your lover back (for 3,300 pounds a month)
Japaneses agencies offer reconciliations by stealth
Some remarry without knowing they were targets.
A decade after the appearance of yamesaseya, professional “splitters” who specialised in ending relationships at the behest of an unhappy, but timid, partner, Japan is in the midst of a boom in services that promise the opposite: reuniting couples months, and sometimes years, after they have gone their separate ways.
Ladies Secret Service, a private detective agency in Tokyo's upmarket Ginza district, has successfully rekindled romances on behalf of hundreds of men and women who are prepared to spend huge sums on their quest to win back former lovers.
The agency's president, Yoshiko Okawa, employs about 300 men and women who are selected for their ability to befriend their targets and convince them that breaking up with an ex-lover or divorcing their spouse was the biggest mistake of their lives.
Her team of fukuenya - “those who restore bonds” - use hi-tech surveillance, counselling and outright deception to achieve the most unlikely reconciliations.
“After they have won the target's trust, they might mention our client in passing and feign amazement when they realise they have a mutual acquaintance,” Okawa said, as she sat in her office surrounded by an array of hi-tech surveillance gadgets.
“All the while our agents are learning as much about their new friend as possible and devising a plan to reunite him or her with our client.” The trigger for reconciliation could be a chance meeting in the street or a location that evokes happy memories of their time together, she said.
In 2005 Ladies Secret Service received 110 requests for help, rising to 430 by the end of 2006. Last year it handled more than 800 cases. About 70% of its clients are women, aged between 20 and 40, who are prepared to spend up to 700,000 yen (3,300 pounds) a month to win back their men.
"We relay any complaints the target has to our client, so they can decide whether to make the necessary changes to repair their relationship," Okawa said. "It could be a divorcee who wants to get back with her ex-husband, but who needs to change her appearance or keep the house tidier before there is any chance of that happening."
When the obstacle to a possible reconciliation is a third person, the agents face the task of engineering the end of one relationship before they can repair the other.
"We do an incredible amount of research into the new man or woman in our target's life, and then drop hints that he or she is unsuitable," says Okawa, a 40-year-old former office worker whose divorce - and infatuation with James Bond films - prompted her career change.
"Before long the target knows all about his new lover's debt problems, her sordid past, or the fact that she has a young child she failed to mention." The tactic is reminiscent of the yamesaseya, whose expertise in breaking up relationships was in greatest demand a few years ago.
Typically, fukuenya agents are presentable and sociable, but insiders say the most successful have a quick mind as well as good looks. "They've got to be able to think on their feet and stand out in some way," said Satoyo Nakamura, who reunites couples for another company, the Japan Research Information Centre.
"Looks alone aren't usually enough to bring in the results you get paid to produce," Nakamura told a weekly magazine. "It's a job that requires being able to assume the role of a counsellor who can bring about radical changes in thinking, not just in the target, but also in the client. It's an extremely difficult job."
Fukuenya carry out their operations in utmost secrecy. Even when attempts at reconciliation are successful, the targets must never learn how they came about, says Okawa, who routinely refuses media requests to interview clients or agents.
In one typical case an agent tried to convince a bar hostess to go back to her ex-husband. Over five months he frequented the woman's club pretending to be a wealthy businessman, accompanied by a friend posing as a fortune teller.
He spoke about how his friend's psychic insights had helped him become rich, and before long the hostess agreed to have her fortune read. The soothsayer's advice was, of course, to return to her ex-husband. They reunited and eventually remarried.
She puts her success rate at around 50%, and Okawa believes that as long as Japan can stave off recession, more lovelorn people will seek her help. "When the economy was in real trouble, people were defeatist and tended to give up on relationships too easily, even if money wasn't the actual cause of the break-up," she said. "Now that they have more money in their pockets they are naturally more optimistic, even about winning back old flames."
Traduction:
Reconquérir votre amour (pour 3,300 livres par mois)
Des agences japonaises proposent des réconciliations furtives.
Quelques-uns se remarient sans savoir qu'ils ont été des cibles.
Une décennie après l'apparition d'yamesaseya, les "séparateurs" professionnels qui s'étaient spécialisés pour mettre un terme à des relations sur l'ordre d'un malheureux, mais timide, partenaire, le Japon est au milieu d'un boom pour les services qui promettent le contraire: réunir des couples, des mois et parfois des années, après que leurs chemins se soient séparés.
Ladies Secret Service, une agence de détectives privés dans le quartier hupé de Ginza à Tokyo, ont ravivé avec succès rallumé des idylles pour le compte de centaines d'hommes et de femmes qui étaient prêts à dépenser des sommes énormes pour retrouver et reconquérir leurs anciens amants.
La présidente de l'agence, Yoshiko Okawa, emploie environ 300 hommes et femmes qui sont choisis pour leur capacité à se lier d'amitié avec leurs cibles et les convaincre que leur séparation avec leur ex-amant ou leur divorce avec leur ex-conjoint était la plus grande erreur de leurs vies.
Son équipe de fukuenya - "ceux qui restaurent les liens" - utilise des moyens de haute technologie pour surveiller, les conseils et la tromperie totale pour accomplir les réconciliations les plus improbables.
"Après qu'ils aient gagné la confiance de la cible, il se pourrait qu'ils parlent de notre client en feignant la stupéfaction quand ils se rendent compte qu'ils ont une connaissance mutuelle," a dit Okawa, alors qu'elle était assise dans son bureau entourée par une gamme de gadgets de surveillance de haute technologie.
"Tout le temps, nos agents en apprennent le plus possible de leur nouvel ami et conçoivent un plan pour le ou la remettre avec notre client." L'élément déclenchant de la réconciliation pourrait être une rencontre fortuite dans la rue ou dans un endroit qui évoque des souvenirs heureux de leur vie ensemble, dit-elle.
En 2005 Ladies Secret Service a reçu 110 demandes d'aide, ce chiffre a monté à 430 vers la fin de 2006. L'année dernière, ils ont traité plus de 800 cas. Environ 70 % de ses clients sont des femmes, âgées de 20 à 40 ans, qui sont prêtes à dépenser jusqu'à 700,000 yens (3,300 livres) par mois pour reconquérir leurs hommes.
"Nous retransmettons toutes les plaintes de la cible à notre client, donc il peut décider de faire les changements nécessaires pour rétablir sa relation," a dit Okawa. "Cela pourrait être un divorcé qui veut revenir avec son ex-mari, mais qui doit changer son apparence ou mieux ranger la maison avant qu'il y ait la moindre chance que cela puisse se produire."
Quand l'obstacle à une réconciliation possible est un tiers, les agents font face à la tâche d'organiser la fin d'une relation avant qu'ils ne puissent rétablir l'autre.
"Nous faisons un nombre incroyable de recherches dans la vie du nouvel homme ou de la nouvelle femme de notre cible et nous lâchons ensuite des allusions comme quoi il ou elle ne lui convient pas," dit Okawa, une ancienne employée de bureau de 40 ans dont le divorce - et l'engouement pour les films de James Bond - a provoqué son changement de carrière.
"Avant longtemps, la cible connaît tout des problèmes de dettes de sa nouvelle compagne, son passé sordide, ou le fait qu'elle a un jeune enfant qu'elle a omis de mentionner."
La méthode n'est pas sans rappeler l'yamesaseya, dont l'expertise pour rompre des relations était la plus demandée il y a quelques années.
Typiquement, les agents de fukuenya sont présentables et sociables, mais les initiés disent que ceux qui réussissent le mieux sont ceux qui ont à la fois l'esprit vif et une belle apparence. "Ils doivent pouvoir se débrouiller rapidement et se sortir du lot d'une certaine façon," a dit Satoyo Nakamura, qui réunit des couples pour une autre société, le Japan Research Information Centre.
"L'apparence seule ne suffit pas d'habitude pour obtenir les résultats pour lesquels vous êtes payés," a dit Nakamura dans un magazine hebdomadaire. "C'est un travail qui exige la capacité d'assumer le rôle d'un conseiller qui peut apporter des changements radicaux dans la façon de penser, pas seulement de la cible, mais aussi du client. C'est un travail extrêmement difficile."
Fukuenya effectuent leurs opérations dans le plus grand secret. Même quand les tentatives de conciliation réussissent, les cibles ne doivent jamais apprendre comment ils sont revenus, dit Okawa, qui refuse systématiquement les demandes des médias pour interviewer des clients ou des agents.
Dans un cas typique un agent a essayé de convaincre une hôtesse de bar de retourner avec son ex-mari. Pendant cinq mois il a fréquenté le club de la femme faisant semblant d'être un homme d'affaires riche, accompagné d'un ami se faisant passer pour un diseur de bonne aventure.
Il a raconté comment les dons psychiques de son ami l'avaient aidé à devenir riche et en peu de temps l'hôtesse a accepté de se faire prédire l'avenir. Les conseils du devin ont été, bien sûr, de retourner avec son ex-mari. Ils se sont remis ensemble et se sont finalement remariés.
Elle évalue son taux de réussite à environ 50 % et Okawa pense que tant que le Japon pourra conjurer la récession, les gens qui sont les plus malheureux en amour rechercheront son aide. "Quand l'économie était réellement en crise, les gens étaient défaitistes et avaient tendance à abandonner leurs relations trop facilement, même si l'argent n'était pas la cause réelle de la séparation," a-t-elle dit. "Maintenant qu'ils ont plus d'argent dans leurs poches ils sont naturellement plus optimistes, même pour raviver des anciennes flammes."
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Modifié par bernard02 le 04-12-2012 18:30
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Modifié par lucile83 le 04-12-2012 21:16
Réponse: Traduction /vérifier de remuche, postée le 06-12-2012 à 22:33:51 (S | E)
Google traduction va te le dire ;)
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Modifié par lucile83 le 07-12-2012 05:32
Réponse: Traduction /vérifier de bernard02, postée le 06-12-2012 à 23:39:11 (S | E)
Merci pour cette réponse remuche, elle m'a été très utile !
Réponse: Traduction /vérifier de gerondif, postée le 07-12-2012 à 00:16:04 (S | E)
Bonsoir,
en effet, le conseil de remuche ne sert pas à grand chose, mais quand vous intervenez pour dire que vous n'avez pas le temps de corriger mais que d 'autres vont s'empresser de le faire, ce n'est pas plus utile pour la "victime" non plus.
Reconquérir(impératif) votre amour (pour 3,300 livres par mois)
Des agences japonaises proposent des réconciliations furtives.(subreptices)
Quelques-uns se remarient sans savoir qu'ils ont été des cibles.
Une décennie après l'apparition d'yamesaseya,(10 ans après la naissance) les "séparateurs" professionnels qui s'étaient spécialisés pour mettre un terme à des relations sur l'ordre d'un malheureux, mais timide, partenaire, les services qui promettent le contraire sont en plein essor au Japon:
réunir des couples, des mois et parfois des années, après que leurs chemins se soient séparés.
Ladies Secret Service, une agence de détectives privés dans le quartier huppé de Ginza à Tokyo, ont ravivé avec succès
La présidente de l'agence, Yoshiko Okawa, emploie environ 300 hommes et femmes qui sont choisis pour leur capacité à se lier d'amitié avec leurs cibles et les convaincre que leur séparation avec leur ex-amant ou leur divorce avec leur ex-conjoint était la plus grande erreur de leurs vies.
Son équipe de fukuenya - "ceux qui restaurent les liens" - utilise une surveillance de haute technologie , des conseils et de la tromperie pure pour accomplir les réconciliations les plus improbables.
"Après
" Pendant Tout ce temps, nos agents en apprennent le plus possible de sur leur nouvel ami et conçoivent un plan pour le ou la remettre avec notre client." L'élément déclenchant de la réconciliation pourrait être une rencontre fortuite dans la rue ou dans un endroit qui évoque des souvenirs heureux de leur vie ensemble, dit-elle.(déclara-t-elle)
En 2005 Ladies Secret Service a reçu 110 demandes d'aide, ce chiffre a monté à 430 vers la fin de 2006. L'année dernière, ils ont traité plus de 800 cas. Environ 70 % de ses clients sont des femmes, âgées de 20 à 40 ans, qui sont prêtes à dépenser jusqu'à 700,000 yens (3,300 livres) par mois pour reconquérir leurs hommes.
"Nous retransmettons toutes les plaintes de la cible à notre client, donc il peut décider de faire les changements nécessaires pour rétablir sa relation," a dit Okawa. "Cela pourrait être une divorcée qui veut revenir avec son ex-mari, mais qui doit changer son apparence ou mieux ranger la maison avant qu'il y ait la moindre chance que cela puisse se produire."
Réponse: Traduction /vérifier de gerondif, postée le 07-12-2012 à 00:44:58 (S | E)
Quand l'obstacle à une réconciliation possible est un tiers, les agents font face à la tâche (doivent alors)organiser la fin d'une relation avant de pouvoir rétablir l'autre.
"Nous faisons une quantité incroyable de recherches dans sur la vie du nouvel homme ou de la nouvelle femme partageant la vie de notre cible et nous lâchons ensuite des allusions comme quoi il ou elle ne lui convient pas," dit Okawa, une ancienne employée de bureau de 40 ans dont le divorce - et l'engouement pour les films de James Bond - a provoqué son le changement de carrière.
"Avant longtempsen un rien de temps, la cible connaît tout des problèmes de dettes de sa nouvelle compagne, son passé sordide, ou le fait qu'elle a un jeune enfant qu'elle a omis de mentionner."
La méthode n'est pas sans rappeler l'yamesaseya, dont l'expertise pour rompre des relations était la des plus demandée il y a quelques années.
Typiquement, les agents de fukuenya sont présentables et sociables(affables, ouverts), mais les initiés disent que ceux qui réussissent le mieux sont ceux qui ont à la fois l'esprit vif et une belle apparence. "Ils doivent pouvoir se débrouiller rapidement et se sortir du lot d'une certaine façon," a dit Satoyo Nakamura, qui réunit des couples pour une autre société, le Japan Research Information Centre.
"L'apparence seule ne suffit pas d'habitude pour obtenir les résultats pour lesquels vous êtes payés," a dit Nakamura dans un magazine hebdomadaire. "C'est un travail qui exige la capacité d'assumer le rôle d'un conseiller qui peut apporter des changements radicaux dans la façon de penser, pas seulement de la cible, mais aussi du client. C'est un travail extrêmement difficile."
Les Fukuenya effectuent leurs opérations dans le plus grand secret. Même quand les tentatives de conciliation réussissent, les cibles ne doivent jamais apprendre comment ils sont revenuselles se sont déroulées, dit Okawa, qui refuse systématiquement les demandes des médias pour interviewer des clients ou des agents.
Dans un cas typique un agent a essayé de convaincre une hôtesse de bar de retourner avec son ex-mari. Pendant cinq mois il a fréquenté le club de cette femme faisant semblant d'être un homme d'affaires riche, accompagné d'un ami se faisant passer pour un diseur de bonne aventure.
Il a raconté comment les dons psychiques de son ami l'avaient aidé à devenir riche et en peu de temps l'hôtesse a accepté de se faire prédire l'avenir. Les conseils du devin ont été, bien sûr, de retourner (qu'elle retourne) avec son ex-mari. Ils se sont remis ensemble et se sont finalement remariés.
Elle évalue son taux de réussite à environ 50 % et Okawa pense que tant que le Japon pourra conjurer la récession, les gens qui sont les plus malheureux en amour davantage encore de gens malheureux en amour rechercheront son aide. "Quand l'économie était réellement en crise, les gens étaient défaitistes et avaient tendance à abandonnerrenoncer à leurs histoires d'amour trop facilement, même si l'argent n'était pas la cause réelle de la séparation," a-t-elle dit. "Maintenant qu'ils ont plus d'argent dans leurs poches ils sont naturellement plus optimistes, même pour raviver des anciennes flammes.(reconquérir d'anciennes amours)"
J'ai mis une heure à corriger tout cela,il serait plus facile pour le correcteur si vous mettiez la traduction sous l'anglais paragraphe par paragraphe, c'est extrèmement fatigant pour l'oeil de faire des allers et retours incessants entre le haut et le bas du texte, je donne alors dans le copié collé de paragraphes que j'efface au fur et à mesure à cause de la limite en nombre de caractères....
Réponse: Traduction /vérifier de bernard02, postée le 07-12-2012 à 01:39:50 (S | E)
Bonjour et
Voici ma version modifiée en fonction de vos remarques, j'espère qu'elle est devenue correcte.
Win your lover back (for 3,300 pounds a month)
Japaneses agencies offer reconciliations by stealth
Some remarry without knowing they were targets.
A decade after the appearance of yamesaseya, professional “splitters” who specialised in ending relationships at the behest of an unhappy, but timid, partner, Japan is in the midst of a boom in services that promise the opposite: reuniting couples months, and sometimes years, after they have gone their separate ways.
Ladies Secret Service, a private detective agency in Tokyo's upmarket Ginza district, has successfully rekindled romances on behalf of hundreds of men and women who are prepared to spend huge sums on their quest to win back former lovers.
The agency's president, Yoshiko Okawa, employs about 300 men and women who are selected for their ability to befriend their targets and convince them that breaking up with an ex-lover or divorcing their spouse was the biggest mistake of their lives.
Her team of fukuenya - “those who restore bonds” - use hi-tech surveillance, counselling and outright deception to achieve the most unlikely reconciliations.
Reconquérez votre amour (pour 3,300 livres par mois)
Les agences de japonais proposent des réconciliations subreptices.
Quelques-uns se remarient sans savoir qu'ils ont été des cibles.
Dix ans après la naissance d'yamesaseya, les "séparateurs" professionnels qui s'étaient spécialisés pour mettre un terme à des relations sur l'ordre d'un malheureux, mais timide, partenaire, les services qui promettent le contraire sont en plein essor au Japon: réunir des couples, des mois et parfois des années, après que leurs chemins se soient séparés.
Ladies Secret Service, une agence de détectives privés dans le quartier huppé de Ginza à Tokyo, a ravivé avec succès des idylles pour le compte de centaines d'hommes et de femmes qui étaient prêts à dépenser des sommes énormes pour retrouver et reconquérir leurs anciens amants.
La présidente de l'agence, Yoshiko Okawa, emploie environ 300 hommes et femmes qui sont choisis pour leur capacité à se lier d'amitié avec leurs cibles et les convaincre que leur séparation avec leur ex-amant ou leur divorce avec leur ex-conjoint était la plus grande erreur de leurs vies.
Son équipe de fukuenya - "ceux qui restaurent les liens" - utilise une surveillance de haute technologie, des conseils et de la tromperie pure pour accomplir les réconciliations les plus improbables.
“After they have won the target's trust, they might mention our client in passing and feign amazement when they realise they have a mutual acquaintance,” Okawa said, as she sat in her office surrounded by an arrray of hi-tech surveillance gadgets.
“All the while our agents are learning as much about their new friend as possible and devising a plan to reunite him or her with our client.” The trigger for reconciliation could be a chance meeting in the street or a location that evokes happy memories of their time together, she said.
In 2005 Ladies Secret Service received 110 requests for help, rising to 430 by the end of 2006. Last year it handled more than 800 cases. About 70% of its clients are women, aged between 20 and 40, who are prepared to spend up to 700,000 yen (3,300 pounds) a month to win back their men.
"We relay any complaints the target has to our client, so they can decide whether to make the necessary changes to repair their relationship," Okawa said. "It could be a divorcee who wants to get back with her ex-husband, but who needs to change her appearance or keep the house tidier before there is any chance of that happening."
"Après avoir gagné la confiance de la cible, il se peut qu'ils fassent allusion à notre client en feignant la stupéfaction quand ils se rendent compte qu'ils ont une connaissance commune," a dit Okawa, assise dans son bureau entourée par une panoplie de gadgets de surveillance de haute technologie.
"Pendant tout ce temps, nos agents en apprennent le plus possible sur leur nouvel ami et conçoivent un plan pour le ou la réconcilier avec notre client." L'élément déclenchant de la réconciliation pourrait être une rencontre fortuite dans la rue ou dans un endroit qui évoque des souvenirs heureux de leur vie ensemble, déclara-t-elle.
En 2005 Ladies Secret Service a reçu 110 demandes d'aide, ce chiffre a monté à 430 vers la fin de 2006. L'année dernière, ils ont traité plus de 800 cas. Environ 70 % de ses clients sont des femmes, âgées de 20 à 40 ans, qui sont prêtes à dépenser jusqu'à 700,000 yens (3,300 livres) par mois pour reconquérir leurs hommes.
"Nous retransmettons toutes les plaintes de la cible à notre client, donc il peut décider de faire les changements nécessaires pour rétablir sa relation," a dit Okawa. "Cela pourrait être une divorcée qui veut revenir avec son ex-mari, mais qui doit changer son apparence ou mieux ranger la maison avant qu'il y ait la moindre chance que cela puisse se produire."
When the obstacle to a possible reconciliation is a third person, the agents face the task of engineering the end of one relationship before they can repair the other.
"We do an incredible amount of research into the new man or woman in our target's life, and then drop hints that he or she is unsuitable," says Okawa, a 40-year-old former office worker whose divorce - and infatuation with James Bond films - prompted her career change.
"Before long the target knows all about his new lover's debt problems, her sordid past, or the fact that she has a young child she failed to mention." The tactic is reminiscent of the yamesaseya, whose expertise in breaking up relationships was in greatest demand a few years ago.
Typically, fukuenya agents are presentable and sociable, but insiders say the most successful have a quick mind as well as good looks. "They've got to be able to think on their feet and stand out in some way," said Satoyo Nakamura, who reunites couples for another company, the Japan Research Information Centre.
"Looks alone aren't usually enough to bring in the results you get paid to produce," Nakamura told a weekly magazine. "It's a job that requires being able to assume the role of a counsellor who can bring about radical changes in thinking, not just in the target, but also in the client. It's an extremely difficult job."
Quand l'obstacle à une réconciliation possible est un tiers, les agents doivent alors organiser la fin d'une relation avant de pouvoir rétablir l'autre.
"Nous faisons une quantité incroyable de recherches sur la vie du nouvel homme ou de la nouvelle femme partageant la vie de notre cible et nous lâchons ensuite des allusions comme quoi il ou elle ne lui convient pas," dit Okawa, une ancienne employée de bureau de 40 ans dont le divorce - et l'engouement pour les films de James Bond - a provoqué le changement de carrière.
"En un rien de temps, la cible connaît tout des problèmes de dettes de sa nouvelle compagne, son passé sordide, ou le fait qu'elle a un jeune enfant qu'elle a omis de mentionner."
La méthode n'est pas sans rappeler l'yamesaseya, dont l'expertise pour rompre des relations était des plus demandées il y a quelques années.
Typiquement, les agents de fukuenya sont présentables et ouverts, mais les initiés disent que ceux qui réussissent le mieux sont ceux qui ont à la fois l'esprit vif et une belle apparence. "Ils doivent pouvoir se débrouiller rapidement et se sortir du lot d'une certaine façon," a dit Satoyo Nakamura, qui réunit des couples pour une autre société, le Japan Research Information Centre.
"L'apparence seule ne suffit pas d'habitude pour obtenir les résultats pour lesquels vous êtes payés," a dit Nakamura dans un magazine hebdomadaire. "C'est un travail qui exige la capacité d'assumer le rôle d'un conseiller qui peut apporter des changements radicaux dans la façon de penser, pas seulement de la cible, mais aussi du client. C'est un travail extrêmement difficile."
Fukuenya carry out their operations in utmost secrecy. Even when attempts at reconciliation are successful, the targets must never learn how they came about, says Okawa, who routinely refuses media requests to interview clients or agents.
In one typical case an agent tried to convince a bar hostess to go back to her ex-husband. Over five months he frequented the woman's club pretending to be a wealthy businessman, accompanied by a friend posing as a fortune teller.
He spoke about how his friend's psychic insights had helped him become rich, and before long the hostess agreed to have her fortune read. The soothsayer's advice was, of course, to return to her ex-husband. They reunited and eventually remarried.
She puts her success rate at around 50%, and Okawa believes that as long as Japan can stave off recession, more lovelorn people will seek her help. "When the economy was in real trouble, people were defeatist and tended to give up on relationships too easily, even if money wasn't the actual cause of the break-up," she said. "Now that they have more money in their pockets they are naturally more optimistic, even about winning back old flames."
Les Fukuenya effectuent leurs opérations dans le plus grand secret. Même quand les tentatives de conciliation réussissent, les cibles ne doivent jamais apprendre comment elles se sont déroulées, dit Okawa, qui refuse systématiquement les demandes des médias pour interviewer des clients ou des agents.
Dans un cas typique un agent a essayé de convaincre une hôtesse de bar de retourner avec son ex-mari. Pendant cinq mois il a fréquenté le club de cette femme faisant semblant d'être un homme d'affaires riche, accompagné d'un ami se faisant passer pour un diseur de bonne aventure.
Il a raconté comment les dons psychiques de son ami l'avaient aidé à devenir riche et en peu de temps l'hôtesse a accepté de se faire prédire l'avenir. Les conseils du devin ont été, bien sûr, qu'elle retourne avec son ex-mari. Ils se sont remis ensemble et se sont finalement remariés.
Elle évalue son taux de réussite à environ 50 % et Okawa pense que tant que le Japon pourra conjurer la récession, davantage encore de gens malheureux en amour rechercheront son aide. "Quand l'économie était réellement en crise, les gens étaient défaitistes et avaient tendance à renoncer à leurs histoires d'amour trop facilement, même si l'argent n'était pas la cause réelle de la séparation," a-t-elle dit. "Maintenant qu'ils ont plus d'argent dans leurs poches ils sont naturellement plus optimistes, même pour reconquérir d'anciennes amours."
"Quand vous intervenez pour dire que vous n'avez pas le temps de corriger mais que d 'autres vont s'empresser de le faire, ce n'est pas plus utile pour la "victime" non plus.": à mon avis, il faudrait relativiser un peu, car lorsque j'interviens, j'essaie quand même de corriger quelques points même si je suis pressé, et même si je n'ai pas un niveau d'expert (un "traitement de décantation" ne me semble pas toujours inutile), ou alors je m'abstiens de répondre, et je ne crois pas avoir répondu une seule fois d'aller demander à Google !
Cordialement.
-------------------
Modifié par bernard02 le 07-12-2012 01:40
Réponse: Traduction /vérifier de gerondif, postée le 07-12-2012 à 17:13:26 (S | E)
Bonjour,
je ne comprends pas pourquoi un copié collé de votre texte ne tient pas dans mon message............
Reconquérez votre amour (récupérez votre amoureux)(pour 3,300 livres par mois)
Les agences de japonais proposent des réconciliations subreptices/sournoises/.
Quelques-uns se remarient sans savoir qu'ils ont été des cibles.
Dix ans après la naissance d'yamesaseya, des"séparateurs" professionnels qui s'étaient spécialisés pour mettre un terme à des relations sur l'ordre d'un partenaire malheureux mais (trop) craintif, ,(timid est un faux ami) les services qui promettent le contraire sont en plein essor au Japon:/On note au Japon une explosion des services qui proposent le contraire: réunir des couples, des mois et parfois des années, après que leurs chemins se soient séparés.
Ladies Secret Service, une agence de détectives privés dans le quartier huppé de Ginza à Tokyo, a ravivé avec succès des idylles pour le compte de centaines d'hommes et de femmes qui étaient prêts à dépenser des sommes énormes pour retrouver et reconquérir leurs anciens amants.
La présidente de l'agence, Yoshiko Okawa, emploie environ 300 hommes et femmes qui sont choisis pour leur capacité à se lier d'amitié avec leurs cibles et les convaincre que leur séparation avec leur ex-amant ou leur divorce avec leur ex-conjoint était la plus grande erreur de leurs vies.
Son équipe de fukuenya - "ceux qui restaurent les liens" - utilise une surveillance de haute technologie, des conseils et de la tromperie pure pour accomplir les réconciliations les plus improbables.
"We relay any complaints the target has to our client, so they can decide whether to make the necessary changes to repair their relationship," Okawa said. "It could be a divorcee who wants to get back with her ex-husband, but who needs to change her appearance or keep the house tidier before there is any chance of that happening."
"Après avoir gagné la confiance de la cible, il se peut qu'ils fassent alors allusion à notre client et feignent la stupéfaction quand ils se rendent compte qu'ils ont une connaissance commune," a dit Okawa, assise dans son bureau entourée par une panoplie de gadgets de surveillance de haute technologie.
"Pendant tout ce temps, nos agents en apprennent le plus possible sur leur nouvel ami et conçoivent un plan pour le ou la réconcilier avec notre client." L'élément déclenchant de la réconciliation pourrait être une rencontre fortuite dans la rue ou dans un endroit qui évoque des souvenirs heureux de leur vie ensemble, déclara-t-elle.
En 2005 Ladies Secret Service a reçu 110 demandes d'aide, ce chiffre a(est) monté à 430 vers la fin de 2006. L'année dernière, ils ont traité plus de 800 cas. Environ 70 % de ses clients sont des femmes, âgées de 20 à 40 ans, qui sont prêtes à dépenser jusqu'à 700,000 yens (3,300 livres) par mois pour reconquérir leurs hommes.
"Nous faisons part tous les reproches de la cible à notre client, afin qu'il puisse décider s'il veut faire faire les changements nécessaires pour rétablir sa relation," a dit Okawa. "Cela pourrait être une divorcée qui veut revenir avec son ex-mari, mais qui doit changer son apparence ou mieux ranger la maison avant qu'il y ait la moindre chance que cela puisse se produire."
"Before long the target knows all about his new lover's debt problems, her sordid past, or the fact that she has a young child she failed to mention." The tactic is reminiscent of the yamesaseya, whose expertise in breaking up relationships was in greatest demand a few years ago.
Typically, fukuenya agents are presentable and sociable, but insiders say the most successful have a quick mind as well as good looks. "They've got to be able to think on their feet and stand out in some way," said Satoyo Nakamura, who reunites couples for another company, the Japan Research Information Centre.
"Looks alone aren't usually enough to bring in the results you get paid to produce," Nakamura told a weekly magazine. "It's a job that requires being able to assume the role of a counsellor who can bring about radical changes in thinking, not just in the target, but also in the client. It's an extremely difficult job."
Quand l'obstacle à une réconciliation possible est un tiers, les agents doivent alors organiser la fin d'une relation avant de pouvoir rétablir l'autre.
"Nous faisons une quantité incroyable de recherches sur la vie du nouvel homme ou de la nouvelle femme partageant la vie de notre cible et nous lâchons ensuite des allusions comme quoi il ou elle ne lui convient pas," dit Okawa, une ancienne employée de bureau de 40 ans dont le divorce - et l'engouement pour les films de James Bond - a provoqué le changement de carrière.
"En un rien de temps, la cible connaît tout des problèmes de dettes de sa nouvelle compagne, son passé sordide, ou le fait qu'elle a un jeune enfant qu'elle a omis de mentionner."
La méthode n'est pas sans rappeler l'yamesaseya, dont l'expertise pour rompre des relations était des plus demandées il y a quelques années.
Typiquement, les agents de fukuenya sont présentables et ouverts, mais les initiés(ceux qui connaissent les rouages) disent que ceux qui réussissent le mieux sont ceux qui ont à la fois l'esprit vif et une belle apparence. "Ils doivent pouvoir se débrouiller rapidement et *sortir du lot (se distinguer) d'une certaine façon," a dit Satoyo Nakamura, qui réunit des couples pour une autre société, le Japan Research Information Centre.
"La prestance seule ne suffit pas d'habitude pour obtenir les résultats pour lesquels vous êtes payés," a dit Nakamura dans un magazine hebdomadaire. "C'est un travail qui exige la capacité d'assumer le rôle d'un conseiller qui peut apporter des changements radicaux dans la façon de penser, pas seulement de la cible, mais aussi du client. C'est un travail extrêmement difficile."
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Modifié par gerondif le 07-12-2012 17:14
Réponse: Traduction /vérifier de gerondif, postée le 07-12-2012 à 17:29:01 (S | E)
suite
Les Fukuenya effectuent leurs opérations dans le plus grand secret. Même quand les tentatives de conciliation réussissent, les cibles ne doivent jamais apprendre comment elles se sont déroulées, dit Okawa, qui refuse systématiquement les demandes des médias pour interviewer des clients ou des agents.
Dans un cas typique un agent a essayé de convaincre une hôtesse de bar de retourner avec son ex-mari. Pendant cinq mois il a fréquenté le club de cette femme faisant semblant d'être un homme d'affaires riche, accompagné d'un ami se faisant passer pour un diseur de bonne aventure.
Il a raconté comment les dons psychiques de son ami l'avaient aidé à devenir riche et en peu de temps l'hôtesse a accepté de se faire prédire l'avenir. Les conseils du devin ont été, bien sûr, qu'elle retourne avec son ex-mari. Ils se sont remis ensemble et se sont finalement remariés.
Elle évalue son taux de réussite à environ 50 % et Okawa pense que tant que le Japon pourra conjurer la récession, davantage encore de gens malheureux en amour rechercheront son aide. "Quand l'économie était réellement en crise, les gens étaient défaitistes et avaient tendance à renoncer à leurs histoires d'amour trop facilement, même si l'argent n'était pas la cause réelle de la séparation," a-t-elle dit. "Maintenant qu'ils ont plus d'argent dans leurs poches ils sont naturellement plus optimistes, même pour reconquérir d'anciennes amours."
Vous dites "A mon avis, il faudrait relativiser un peu, car lorsque j'interviens, j'essaie quand même de corriger quelques points même si je suis pressé, et même si je n'ai pas un niveau d'expert (un "traitement de décantation" ne me semble pas toujours inutile), ou alors je m'abstiens de répondre, et je ne crois pas avoir répondu une seule fois d'aller demander à Google !" C'est vrai, j'ai vérifié, vous corrigez quelques points, mea culpa.
Par contre sur votre travail d'anglais,ce que je ne comprends pas,intellectuellement parlant,c'est pourquoi vous demandez une correction pour ensuite adopter et coller dans votre texte les phrases des correcteurs, ce qui fait que votre traduction n'est plus "votre bébé à vous". Par exemple, quand je traduis les versions proposées par Violet, je ne lis pas les versions des autres traducteurs et, après avoir posté le mienne, je regarde les autres pour voir qui a trouvé la phrase magique là où j'ai coincé, mais j'essaie, sauf parfois un mot, de ne pas aller piquer les bonnes trouvailles des autres, sinon, finalement, le traducteur numéro 25 n'aurait plus qu'à découper intelligemment les trouvailles des uns et des autres et sa traduction tiendrait la route.
Je crois qu'on apprend de ses erreurs et que quand on en a fait une et qu'on l'a comprise, on ne la refait plus. En plongée , que j'enseigne aussi, j'insiste beaucoup sur les erreurs que j'ai pu commettre, pourquoi et à cause de quoi.
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Modifié par gerondif le 07-12-2012 22:51
Réponse: Traduction /vérifier de violet91, postée le 07-12-2012 à 21:43:01 (S | E)
J'en suis bouche bée et admirative ,teacher ! Un vrai bénévole et de vraies longues histoires japonaises...Just incredible !
Réponse: Traduction /vérifier de bernard02, postée le 08-12-2012 à 03:05:06 (S | E)
Bonjour et
Voici une nouvelle mouture tenant compte de vos dernières remarques, j'espère maintenant qu'elle est vraiment acceptable et correcte.
Cordialement.
Win your lover back (for 3,300 pounds a month)
Japaneses agencies offer reconciliations by stealth
Some remarry without knowing they were targets.
A decade after the appearance of yamesaseya, professional “splitters” who specialised in ending relationships at the behest of an unhappy, but timid, partner, Japan is in the midst of a boom in services that promise the opposite: reuniting couples months, and sometimes years, after they have gone their separate ways.
Ladies Secret Service, a private detective agency in Tokyo's upmarket Ginza district, has successfully rekindled romances on behalf of hundreds of men and women who are prepared to spend huge sums on their quest to win back former lovers.
The agency's president, Yoshiko Okawa, employs about 300 men and women who are selected for their ability to befriend their targets and convince them that breaking up with an ex-lover or divorcing their spouse was the biggest mistake of their lives.
Her team of fukuenya - “those who restore bonds” - use hi-tech surveillance, counselling and outright deception to achieve the most unlikely reconciliations.
Récupérez votre amoureux (pour 3,300 livres par mois)
Des agences japonaises proposent des réconciliations sournoises.
Quelques-uns se remarient sans savoir qu'ils ont été des cibles.
Dix ans après la naissance d'yamesaseya, des "séparateurs" professionnels qui s'étaient spécialisés pour mettre un terme à des relations sur l'ordre d'un partenaire malheureux, mais craintif, on note au Japon une explosion des services qui proposent le contraire: réunir des couples, des mois et parfois des années, après que leurs chemins se soient séparés.
Ladies Secret Service, une agence de détectives privés dans le quartier huppé de Ginza à Tokyo, a ravivé avec succès des idylles pour le compte de centaines d'hommes et de femmes qui étaient prêts à dépenser des sommes énormes pour retrouver et reconquérir leurs anciens amants.
La présidente de l'agence, Yoshiko Okawa, emploie environ 300 hommes et femmes qui sont choisis pour leur capacité à se lier d'amitié avec leurs cibles et les convaincre que leur séparation avec leur ex-amant ou leur divorce avec leur ex-conjoint était la plus grande erreur de leurs vies.
Son équipe de fukuenya - "ceux qui restaurent les liens" - utilise une surveillance de haute technologie, des conseils et de la tromperie pure pour accomplir les réconciliations les plus improbables.
“After they have won the target's trust, they might mention our client in passing and feign amazement when they realise they have a mutual acquaintance,” Okawa said, as she sat in her office surrounded by an arrray of hi-tech surveillance gadgets.
“All the while our agents are learning as much about their new friend as possible and devising a plan to reunite him or her with our client.” The trigger for reconciliation could be a chance meeting in the street or a location that evokes happy memories of their time together, she said.
In 2005 Ladies Secret Service received 110 requests for help, rising to 430 by the end of 2006. Last year it handled more than 800 cases. About 70% of its clients are women, aged between 20 and 40, who are prepared to spend up to 700,000 yen (3,300 pounds) a month to win back their men.
"We relay any complaints the target has to our client, so they can decide whether to make the necessary changes to repair their relationship," Okawa said. "It could be a divorcee who wants to get back with her ex-husband, but who needs to change her appearance or keep the house tidier before there is any chance of that happening."
"Après avoir gagné la confiance de la cible, il se peut qu'ils fassent alors allusion à notre client en feignent la stupéfaction quand ils se rendent compte qu'ils ont une connaissance commune," a dit Okawa, assise dans son bureau entourée par une panoplie de gadgets de surveillance de haute technologie.
"Pendant tout ce temps, nos agents en apprennent le plus possible sur leur nouvel ami et conçoivent un plan pour le ou la réconcilier avec notre client." L'élément déclenchant de la réconciliation pourrait être une rencontre fortuite dans la rue ou dans un endroit qui évoque des souvenirs heureux de leur vie ensemble, déclara-t-elle.
En 2005 Ladies Secret Service a reçu 110 demandes d'aide, ce chiffre est monté à 430 vers la fin de 2006. L'année dernière, ils ont traité plus de 800 cas. Environ 70 % de ses clients sont des femmes, âgées de 20 à 40 ans, qui sont prêtes à dépenser jusqu'à 700,000 yens (3,300 livres) par mois pour reconquérir leurs hommes.
"Nous faisons part de tous les reproches de la cible à notre client, afin qu'il puisse décider s'il veut faire les changements nécessaires pour rétablir sa relation," a dit Okawa. "Cela pourrait être une divorcée qui veut revenir avec son ex-mari, mais qui doit changer son apparence ou mieux ranger la maison avant qu'il y ait la moindre chance que cela puisse se produire."
When the obstacle to a possible reconciliation is a third person, the agents face the task of engineering the end of one relationship before they can repair the other.
"We do an incredible amount of research into the new man or woman in our target's life, and then drop hints that he or she is unsuitable," says Okawa, a 40-year-old former office worker whose divorce - and infatuation with James Bond films - prompted her career change.
"Before long the target knows all about his new lover's debt problems, her sordid past, or the fact that she has a young child she failed to mention." The tactic is reminiscent of the yamesaseya, whose expertise in breaking up relationships was in greatest demand a few years ago.
Typically, fukuenya agents are presentable and sociable, but insiders say the most successful have a quick mind as well as good looks. "They've got to be able to think on their feet and stand out in some way," said Satoyo Nakamura, who reunites couples for another company, the Japan Research Information Centre.
"Looks alone aren't usually enough to bring in the results you get paid to produce," Nakamura told a weekly magazine. "It's a job that requires being able to assume the role of a counsellor who can bring about radical changes in thinking, not just in the target, but also in the client. It's an extremely difficult job."
Quand l'obstacle à une réconciliation possible est un tiers, les agents doivent alors organiser la fin d'une relation avant de pouvoir rétablir l'autre.
"Nous faisons une quantité incroyable de recherches sur la vie du nouvel homme ou de la nouvelle femme partageant la vie de notre cible et nous lâchons ensuite des allusions comme quoi il ou elle ne lui convient pas," dit Okawa, une ancienne employée de bureau de 40 ans dont le divorce - et l'engouement pour les films de James Bond - a provoqué le changement de carrière.
"En un rien de temps, la cible connaît tout des problèmes de dettes de sa nouvelle compagne, son passé sordide, ou le fait qu'elle a un jeune enfant qu'elle a omis de mentionner."
La méthode n'est pas sans rappeler l'yamesaseya, dont l'expertise pour rompre des relations était des plus demandées il y a quelques années.
Typiquement, les agents de fukuenya sont présentables et ouverts, mais ceux qui connaissent les rouages disent que ceux qui réussissent le mieux sont ceux qui ont à la fois l'esprit vif et une belle apparence. "Ils doivent pouvoir se débrouiller rapidement et se distinguer d'une certaine façon," a dit Satoyo Nakamura, qui réunit des couples pour une autre société, le Japan Research Information Centre.
"La prestance seule ne suffit pas d'habitude pour obtenir les résultats pour lesquels vous êtes payés," a dit Nakamura dans un magazine hebdomadaire. "C'est un travail qui exige la capacité d'assumer le rôle d'un conseiller qui peut apporter des changements radicaux dans la façon de penser, pas seulement de la cible, mais aussi du client. C'est un travail extrêmement difficile."
Fukuenya carry out their operations in utmost secrecy. Even when attempts at reconciliation are successful, the targets must never learn how they came about, says Okawa, who routinely refuses media requests to interview clients or agents.
In one typical case an agent tried to convince a bar hostess to go back to her ex-husband. Over five months he frequented the woman's club pretending to be a wealthy businessman, accompanied by a friend posing as a fortune teller.
He spoke about how his friend's psychic insights had helped him become rich, and before long the hostess agreed to have her fortune read. The soothsayer's advice was, of course, to return to her ex-husband. They reunited and eventually remarried.
She puts her success rate at around 50%, and Okawa believes that as long as Japan can stave off recession, more lovelorn people will seek her help. "When the economy was in real trouble, people were defeatist and tended to give up on relationships too easily, even if money wasn't the actual cause of the break-up," she said. "Now that they have more money in their pockets they are naturally more optimistic, even about winning back old flames."
Les Fukuenya effectuent leurs opérations dans le plus grand secret. Même quand les tentatives de conciliation réussissent, les cibles ne doivent jamais apprendre comment elles se sont déroulées, dit Okawa, qui refuse systématiquement les demandes des médias pour interviewer des clients ou des agents.
Dans un cas typique un agent a essayé de convaincre une hôtesse de bar de retourner avec son ex-mari. Pendant cinq mois il a fréquenté le club de cette femme faisant semblant d'être un homme d'affaires riche, accompagné d'un ami se faisant passer pour un diseur de bonne aventure.
Il a raconté comment les dons psychiques de son ami l'avaient aidé à devenir riche et en peu de temps l'hôtesse a accepté de se faire prédire l'avenir. Les conseils du devin ont été, bien sûr, qu'elle retourne avec son ex-mari. Ils se sont remis ensemble et se sont finalement remariés.
Elle évalue son taux de réussite à environ 50 % et Okawa pense que tant que le Japon pourra conjurer la récession, davantage encore de gens malheureux en amour rechercheront son aide. "Quand l'économie était réellement en crise, les gens étaient défaitistes et avaient tendance à renoncer à leurs histoires d'amour trop facilement, même si l'argent n'était pas la cause réelle de la séparation," a-t-elle dit. "Maintenant qu'ils ont plus d'argent dans leurs poches ils sont naturellement plus optimistes, même pour reconquérir d'anciennes amours."
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Modifié par bernard02 le 08-12-2012 03:06
Réponse: Traduction /vérifier de lemagemasque, postée le 08-12-2012 à 16:45:48 (S | E)
Hello!
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