Traduction/A Felt Fedora
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Message de bernard02 posté le 24-02-2013 à 00:00:36 (S | E | F)
Bonjour à toutes et à tous,
pouvez-vous me dire, s'il vous plaît, si la traduction suivante (de l'anglais vers le français) est correcte ou s'il y a des améliorations à apporter?
Merci d'avance pour vos réponses.
Source: A Felt Fedora. Joan Wilkins Stone. Goldendale, Washington.
Text for Monday, 25th February 2013.
A Felt Fedora.
A felt fedora always covered my father's short brown curls. He wore a gray one for work - sometimes small kernels of wheat mingled with drops of tractor oil nestled in the brim. He had a brown one for dress and a beige one for leisurely Sunday drives or taking in a Roy Rogers movie on a warm summer evening. We never went to the movies except in the summer, maybe because the days were long and hot or because the nights took too long to come or because the cool darkness of the Star Theatre beckoned to my father after he had been working the dusty, dry land.
My father never went anywhere without one of his hats. They hung outside the back kitchen door on pegs, lined up in a row. Same size, same shape, same smell - a mixture of Old Spice, Lifebuoy Soap, and a touch of the Brylcreem he used to tame his unruly hair.
He never wore one inside, but when he was outside it was on his head or in his hand. He'd tip it when greeting a lady and take it off when entering a building, even the post office. His manners were impeccable, but he wasn't comfortable without his hat. My mother made him leave it in the car when we went to the movies; he would have preferred holding it in his lap.
Many years later, my brother and I and our families were with my mother and father in a department store in Portland, Oregon. We were trying to help my father find a new hat. He tried them all on: wrong size, wrong color, brim too narrow, band didn't match. This went on and on, and the salesman was losing patience. My father finally found the perfect one and with a huge grin showed it to my mother. We all breathed a sigh of relief, until she looked at it and said, "Ted, you old fool, that's your own hat!"
Joan Wilkins Stone
Goldendale, Washington
Un chapeau mou en feutre.
Un chapeau mou en feutre couvrait toujours les petites boucles de cheveux bruns de mon père. Il en portait un gris pour le travail - parfois des petits grains de blé mélangés avec des gouttes d'huile du tracteur se nichaient au bord. Il en avait un brun pour s'habiller et un beige pour les promenades tranquilles en voiture du dimanche ou pour se faire un film de Roy Rogers un soir chaud d'été. Nous n'allions jamais au cinéma sauf l'été, peut-être parce que les jours étaient longs et chauds ou parce que les nuits étaient trop longues à venir ou parce que l'obscurité fraîche du Star Theatre attirait mon père après qu'il avait travaillé la terre poussiéreuse et sèche.
Mon père n'allait jamais nulle part sans un de ses chapeaux. Ils étaient accrochés sur des patères à l'extérieur de la porte de l'arrière-cuisine, alignés en rang. Même taille, même forme, même odeur - un mélange de vieille épice, de savon de bouée de sauvetage et une touche du Brylcreem avec lequel il avait l'habitude de dompter ses cheveux indisciplinés.
Il n'en a jamais porté un à l'intérieur, mais quand il était à l'extérieur, il était sur sa tête ou dans sa main. Il l'inclinait quand il saluait une dame et l'enlevait en entrant dans un bâtiment, même le bureau de poste. Ses manières étaient impeccables, mais il n'était pas à l'aise sans son chapeau. Ma mère lui faisait enlever dans la voiture quand nous allions au cinéma; il aurait préféré le tenir sur ses genoux.
De nombreuses années plus tard, mon frère et moi et nos familles étions avec ma mère et mon père dans un grand magasin à Portland, dans l'Oregon. Nous essayions d'aider mon père à trouver un nouveau chapeau. Il les a tous essayés: mauvaise taille, mauvaise couleur, bord trop étroit, le ruban n'était pas assorti. Ceci a continué encore et encore et le vendeur perdait patience. Mon père a trouvé finalement celui qui était parfait et l'a montré à ma mère avec un grand et large sourire. Nous avons tous poussé un soupir de soulagement, jusqu'à ce qu'elle l'ait regardé et lui ait dit, "Ted, vieil imbécile, c'est ton propre chapeau!"
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Modifié par lucile83 le 24-02-2013 00:17
Message de bernard02 posté le 24-02-2013 à 00:00:36 (S | E | F)
Bonjour à toutes et à tous,
pouvez-vous me dire, s'il vous plaît, si la traduction suivante (de l'anglais vers le français) est correcte ou s'il y a des améliorations à apporter?
Merci d'avance pour vos réponses.
Source: A Felt Fedora. Joan Wilkins Stone. Goldendale, Washington.
Text for Monday, 25th February 2013.
A Felt Fedora.
A felt fedora always covered my father's short brown curls. He wore a gray one for work - sometimes small kernels of wheat mingled with drops of tractor oil nestled in the brim. He had a brown one for dress and a beige one for leisurely Sunday drives or taking in a Roy Rogers movie on a warm summer evening. We never went to the movies except in the summer, maybe because the days were long and hot or because the nights took too long to come or because the cool darkness of the Star Theatre beckoned to my father after he had been working the dusty, dry land.
My father never went anywhere without one of his hats. They hung outside the back kitchen door on pegs, lined up in a row. Same size, same shape, same smell - a mixture of Old Spice, Lifebuoy Soap, and a touch of the Brylcreem he used to tame his unruly hair.
He never wore one inside, but when he was outside it was on his head or in his hand. He'd tip it when greeting a lady and take it off when entering a building, even the post office. His manners were impeccable, but he wasn't comfortable without his hat. My mother made him leave it in the car when we went to the movies; he would have preferred holding it in his lap.
Many years later, my brother and I and our families were with my mother and father in a department store in Portland, Oregon. We were trying to help my father find a new hat. He tried them all on: wrong size, wrong color, brim too narrow, band didn't match. This went on and on, and the salesman was losing patience. My father finally found the perfect one and with a huge grin showed it to my mother. We all breathed a sigh of relief, until she looked at it and said, "Ted, you old fool, that's your own hat!"
Joan Wilkins Stone
Goldendale, Washington
Un chapeau mou en feutre.
Un chapeau mou en feutre couvrait toujours les petites boucles de cheveux bruns de mon père. Il en portait un gris pour le travail - parfois des petits grains de blé mélangés avec des gouttes d'huile du tracteur se nichaient au bord. Il en avait un brun pour s'habiller et un beige pour les promenades tranquilles en voiture du dimanche ou pour se faire un film de Roy Rogers un soir chaud d'été. Nous n'allions jamais au cinéma sauf l'été, peut-être parce que les jours étaient longs et chauds ou parce que les nuits étaient trop longues à venir ou parce que l'obscurité fraîche du Star Theatre attirait mon père après qu'il avait travaillé la terre poussiéreuse et sèche.
Mon père n'allait jamais nulle part sans un de ses chapeaux. Ils étaient accrochés sur des patères à l'extérieur de la porte de l'arrière-cuisine, alignés en rang. Même taille, même forme, même odeur - un mélange de vieille épice, de savon de bouée de sauvetage et une touche du Brylcreem avec lequel il avait l'habitude de dompter ses cheveux indisciplinés.
Il n'en a jamais porté un à l'intérieur, mais quand il était à l'extérieur, il était sur sa tête ou dans sa main. Il l'inclinait quand il saluait une dame et l'enlevait en entrant dans un bâtiment, même le bureau de poste. Ses manières étaient impeccables, mais il n'était pas à l'aise sans son chapeau. Ma mère lui faisait enlever dans la voiture quand nous allions au cinéma; il aurait préféré le tenir sur ses genoux.
De nombreuses années plus tard, mon frère et moi et nos familles étions avec ma mère et mon père dans un grand magasin à Portland, dans l'Oregon. Nous essayions d'aider mon père à trouver un nouveau chapeau. Il les a tous essayés: mauvaise taille, mauvaise couleur, bord trop étroit, le ruban n'était pas assorti. Ceci a continué encore et encore et le vendeur perdait patience. Mon père a trouvé finalement celui qui était parfait et l'a montré à ma mère avec un grand et large sourire. Nous avons tous poussé un soupir de soulagement, jusqu'à ce qu'elle l'ait regardé et lui ait dit, "Ted, vieil imbécile, c'est ton propre chapeau!"
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Modifié par lucile83 le 24-02-2013 00:17
Réponse: Traduction/A Felt Fedora de bernard02, postée le 26-02-2013 à 02:27:52 (S | E)
Bonjour,
cette traduction n'a pas été traitée le 25/02 comme prévu, sa correction est donc reportée au mois de mars.
Merci d'avance de me donner votre avis.
Cordialement.
Réponse: Traduction/A Felt Fedora de lucile83, postée le 26-02-2013 à 22:48:54 (S | E)
Hello,
Il en avait un brun pour s'habiller et un beige pour les promenades tranquilles en voiture du dimanche ...vous parlez des promenades du dimanche ou de la voiture du dimanche?
Il n'en a jamais porté un à l'intérieur, mais quand il était à l'extérieur, il était sur sa tête ou dans sa main....il,il,il de quoi ou de qui parlez-vous? en anglais c'est évident mais pas en français
Le reste est ok pour moi.
Réponse: Traduction/A Felt Fedora de bernard02, postée le 28-02-2013 à 06:43:59 (S | E)
Hello,
voici les modifications que j'ai faites:
1) "Il en avait un brun pour s'habiller et un beige pour les promenades tranquilles du dimanche en voiture".
2) "Il ne portait jamais de chapeau à l'intérieur, mais quand il était à l'extérieur, son chapeau était sur sa tête ou dans sa main.".
Cordialement.
Réponse: Traduction/A Felt Fedora de lucile83, postée le 28-02-2013 à 07:52:14 (S | E)
Hello,
C'est mieux en effet
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